Couleurs et livres

 

 Des livres rouges

le monde bouge

des livres blancs

pour des bilans

des livres noirs

sales histoires

le livre bleu

du merveilleux

A livre ouvert

la vie en vert

Un livre rose

rien de morose

 le livre d'or

des moments forts ...

A suivre !

Lenaïg

***

 

Les romans

 

 

Plonger dans les romans

autre époque autre espace

c'est de l'enchantement

jamais je ne m'en lasse

 

Lenaïg

***

 

 

Ma chère Mireille (clic !),

 

 

dans le Panier de Mémette,

n'ayant eu ni le temps

ni la belle disponibilité d'esprit

pour bien cogiter de frais,

je t'ai tout de même pondu

deux petits oeufs :

Couleurs et livres et Les romans,

et je voudrais déposer,

deux poèmes déjà tout prêts  :

 

 

La lecture précède l'écriture !

La lecture précède l'écriture ! - Lenaïg

 

Et :

Le livre posé

écrit aussi pour un jeudi de poésie ...

 

 

 

 Le livre est posé
sur la table de chevet.
Nouvelle présence.
Auréolé d'inconnu
tant qu'il ne sera pas lu.

  Voyage immobile.
 La tempête est dans la tête
quand tout est tranquille.
Meurtres, mystère et amour,
  la chambre perd ses contours.

   Des pages tournées,
mots suscitant l'intérêt.
Etrange atmosphère.
La lecture se poursuit
dans le silence et la nuit.

Sommeil et fatigue.
Aventure interrompue
au coeur de l'intrigue.
 Le livre se fermera,
marque-page au bon endroit.

 Le livre est posé
sur la  table de chevet.
La lectrice dort.
Ce livre bien avancé
n'a pas dit tous ses secrets.

   

 

Lenaïg
 17 janvier 2010.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

C'est Vital...

 

Sortir dès le réveil

Aux premières lueurs du jour

Lorsque la vie s'anime

Et que l'humidité de la Terre

Diffuse son parfum

Tellement particuliers,

C'est Vital...

 

Venir me réveiller

En réclamant un câlin,

En se collant à moi

Comme pour ne pas me perdre,

C'est Vital...

 

Partager avec moi un petit déjeuner

Composé de tartines beurrées

et de Chocolat chaud,

C'est Vital...

 

Aller courir au cœur de la forêt,

Se reposer sur un coussin moussu,

Humer les « clochettes » bleues

Au milieu des fougères,

Observer au loin

Une biche et son faon

ou bien quelques lapins

Dansant en sarabande,

C'est Vital...

 

Recevoir mes confidences

Lorsque je me sens mal,

Partager mes joies

Lorsque je suis heureux,

Être mon ombre

Et me suivre où je vais,

Fréquenter mes Amis,

Se tenir bien

Partout,

C'est Vital...

 

Remuer la queue

Pour exprimer sa satisfaction,

Ses attentes,

Faire partie intégrante

De ma Famille,

C'est Vital...

C'est mon chien.

 

Vital,

C'est le nom que je lui ai donné,

Parce que sans lui,

Un jour peut-être,

J'aurais baissé les bras,

Cessé le combat.

Ce chien était Vital

A ma Survie.

 

 

 

Tonton Ric

 

 

 

 

 

Une jeune femme blonde se tient droite dans l’embrasure de la porte de la chambre d’hôpital voisine de la mienne.  Je lui souris et la salue en me présentant. Elle me rend mon sourire. Sur ces poignets, de vilaines cicatrices me bouleversent. Devant elle, un petit ventre rond qu’elle caresse tendrement. Dans ses yeux, je perçois des éclats de joie. Elle retrousse le bas de sa camisole rose et pointe avec l’index son abdomen. Là, dans son ventre, se trouve Vital, m’apprend-elle. Je la félicite. La présence de Vital semble la rendre euphorique. Elle inspire profondément et son monologue devient étourdissant. Puisque moi je me bats contre des moulins à vent, je m’explique qu’il est plausible qu’elle ait avalé un moulin à paroles.

 

Elle m’explique qu’elle a choisi le prénom Vital parce qu’elle pressent qu’en elle, un beau garçon s’accroche à la vie. Grâce à lui, elle a trouvé un sens à son existence. Vital existe et grandit à vue d’œil sous mon regard abasourdi. Le voilà niché au creux de ses bras entrelacés. Il a un mois, il la regarde avec des yeux d’un bleu étincelant comme les siens. Sa chevelure rousse abondante est similaire à celle de son père et ses petites mains fines sont pareilles à celles de son grand-père, un musicien.

 

Elle est à bout de souffle. Il a cinq ans et déplace beaucoup d’air, fait la course dans la maison pour  prolonger l’heure du dodo. C’est un gamin sportif, un joueur de foot ou un boxeur car il est fort. Déjà, ses coups de pieds et de poings la réveillent la nuit. Une fois les années rebelles de son adolescence passées, il s’assagit et devient très studieux. Il décroche un diplôme universitaire, récolte tous les honneurs et, plus tard, crée sa propre entreprise. À trente ans, il connaît beaucoup de succès en affaires, se marie et sa progéniture la comble de bisous doux et de joie. Elle a trois petits-enfants qui lui rendent visite tous les dimanches. C’est la fête dans son cœur.

 

Subitement, son discours s’arrête. Elle me fait signe de m’approcher, s’empare de ma main droite et la colle au-dessus de son nombril. Elle insiste. Je dois absolument sentir, là, son-petit-papillon-Vital bouger.  Rien. Que le vide. Mais pour ne pas la décevoir, je fais comme si et je lui adresse un sourire ravi. Son regard s’assombrit. Elle jette un coup d’œil de gauche à droite. J’en fais tout autant. Il n’y a personne d’autres que nous trois, elle, Vital et moi. Elle soulève une mèche de mes cheveux, la positionne doucement derrière mon oreille en y approchant doucement les lèvres. Elle chuchote.

 

-  Vital et moi, nous devons à tout prix sortir d’ici. Tu l’as bien senti bouger toi ? Vital existe ! Mon médecin raconte que ma grossesse est imaginaire. Les infirmières partagent toutes son avis, elles me forcent à avaler des comprimés de poison, soutenant que c’est pour mon bien. Je ne suis pas bête et je sais bien qu’on tente par tous les moyens d’extirper mon Vital pour me le voler.  

 

Sur ces dernières fabulations et devant mon air éberlué, elle recule de quelques pas, se réfugie dans sa chambre en fermant la porte derrière elle.

 

Je secoue la tête pour remettre mes idées en place. La cigogne me passe sous le nez avec son baluchon. Vital disparaît.

 

 

 

 

Isobel

 

 

 

 

 

 

Lien pour cette image choisie par Isobel :

http://piamercado.files.wordpress.com/2009/12/spon_stork111.jpg

 

 

 

 

 

 

 

Pour vous dire mes bons amis combien la vie était devenue coûteuse, à ce point que le gros Vital à Maurice de Normand n’arrivait plus à boucler ni sa ceinture ni son budget du mois. Sa pauvre Démerise venait de rendre l’âme. Le curé ne voulait pas de son cercueil dans son cimetière qui rapetissait à vue d’œil en cause de ses paroissiens qui ne payaient plus leurs dîmes des douze mois de l’année. Il fallait bien que l’argent rentre par quelque part et ce quelque part était la location des terrains au cimetière. Le loyer d’un mort était plus cherrant  que la location d’un espace de stationnement pour une vieille bagnole. Vital se grattait l’occiput ne sachant comment sortir de ce trou-là.  

 

Le veuf à vif de sa douleur n’avait plus le choix. Même en mettant au clou sa vielle guimbarde, cela ne couvrait pas le prix de la terre pour mettre Démerise à couvert avec les vers pour la recomposer ou la biodégrader. C’était selon le point de vue des croyances.

 

Il devait trouver un moyen pour ne pas garder Démerise morte sur le siège avant de sa vieille bien-nommée, Rossinante de tôle blanche.  C’est alors que Vital dû se résoudre à retourner chez son père, le vieux Maurice à Normand qui survivait  de choux gras cultivés sur les arpents de la ferme ancestrale de l’époque du grand Napoléon lui-même. Si, si, le vrai grand Napoléon.  

 

Il présenta son plan d’action à son père aussi grigou que le curé. Ce dernier accepta le projet de Vital en lui faisant signer un contrat de partenariat à part égale pour cette nouvelle entreprise qui promettait d’être lucrative. Ainsi naquit, Crémation Vital, Maurice Éconopak. Inc.  

 

Démerise fut la première cliente de cette nouvelle compagnie. Vital devint marchand de la mort entreposée  à prix modique. Avec les cendres, le père Maurice les embaumait d’encens acheté au Dollorama de la paroisse et les revendait au curé à prix d’or.  Les chiffres d’affaires du curé fondaient comme la mort chez  Crémation Vital, Maurice Éconopak. Inc.

 

Vital avait compris que l’abus faisait le moine et sa vitalité.

Dès l’aube, quand il s’attelait à son travail, Vital ne manquait jamais de prier sa Démerise qui l’avait sorti du trou.

 

Marie Louve

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

S'il y a seulement deux motivations (à mon humble avis) justifiables qui devraient pousser le Profane à frapper à la porte des Franc-maçons, il y a aussi quelques motifs invoqués qui n'ont rien à voir, strictement rien, avec la vocation première de la Franc-maçonnerie et des Travaux qu'on y pratique en Loge.

Je commencerai donc, contre toute attente certainement, par évoquer l'un de ces motifs curieux que je classe au second rang des espérances fondées sur l’Initiation Maçonnique. Je parle là du plus mauvais des motifs : se construire un réseau de relations « d'affaires » ou « carriériste ».

Allez savoir pourquoi, mais dans la majeure partie des cas, lorsqu'on demande à une personne ce qu'elle connaît de la Franc-maçonnerie, on obtient comme réponse quelque chose du genre :

« Ce sont des hommes d'affaires, ou des hommes riches, qui se rencontrent régulièrement pour discuter. »

Et lorsqu'on demande de quoi ils peuvent bien parler, ces hommes d'affaires, ces riches, ces notables, la réponse est toujours très évasive... Mais certainement « ils concluent d'autres affaires afin de « s'en mettre plein les poches »... ».

Et je vous promets que je grossis à peine ces « on-dit ».

Il est de mauvais goût, presque insultant, de considérer la Franc-maçonnerie comme un vulgaire club de « Fumeurs de Cigares », comme une annexe des Clubs de Golfeurs ou autres rendez-vous pour gens fortunés en mal de relations d'affaires.

Certes, nous en voyons régulièrement, de ces profanes, qui se présentent à nous, et se voient blackboulés pour avoir exprimé souvent à mots couverts leurs intentions. Même des hommes politiques ! Mais heureusement, les Francs-maçons veillent au grain, et bien qu'il existe, comme je vous l'ai dit plus haut, des Obédiences à tendance Politiques, il ne sera jamais question, à moins d'un bouleversement interne extrêmement peu probable et qui marquerait la fin de la Franc-maçonnerie, de trouver une seule Loge qui favorise ce genre de rapprochement uniquement affairiste ou carriériste.

 

 

 

 

Parmi les motivations conduisant le Profane à demander l'Initiation, il en est une que je considère comme essentielle qui réside dans le fait de souhaiter apporter sa pierre à l'évolution nationale, à l'action sociale, à l'apport de certains bienfaits humanitaires...

Il est de notoriété publique que des Loges, cette Franc-Maçonnerie « Politique », se sont impliquées à un haut niveau dans de précédents gouvernements français... Notamment en présentant et votant certaines lois à caractère Social, à l'époque où tout était à construire de l'avancée Sociétale vers un « Monde Meilleur » pour le commun des mortels. En ce temps-là, les obédiences étaient moins nombreuses, et la Franc-Maçonnerie avait encore « de la voix ».

Mais les temps changent, et c'est très bien ainsi... Et la F-M a perdu beaucoup de son influence dans les différents gouvernements, allant même jusqu'à presque en disparaître, ce qui est dommage, et dommageable pour la société. Dans l'Hémicycle, il existe encore un groupe « discret », « La Fraternelle Parlementaire », qui rassemble sans les nommer individuellement, à moins que les médias ne les dévoilent, comme c'est désormais trop souvent le cas, et ce sous n'importe quel prétexte, les Francs-Maçons de l'Assemblée Nationale et du Sénat. Par devoir et respect de la Parole Donnée, je ne puis vous dire qui sont ces hommes et femmes politiques, ni où ils œuvrent, mais d'autres le font sur le net, dans des rubriques souvent fiables, quoique...

Si une chose est certaine, c'est que, grâce à la Franc-Maçonnerie, et quelque soit sa sensibilité politique, le Lecteur trouvera au moins un événement capital pour la vie sociale française (et ailleurs aussi) proposé ou voté par un initié Maçon, voire un groupe, voire encore « Le » groupe Franc-maçon nommé plus haut.

 

 

 

 

Dans le même ordre d'idée, il est fréquent de trouver à la tête d'associations humanitaires ou républicaines (1901), médicales ou « logistiques », des Francs-Maçons. Ce qui se comprend aisément, puisque ces associations œuvrent pour « le bien de l'humanité ». Tenter d'améliorer par n'importe quel moyen LEGAL et pacifique la condition humaine et le confort de tout être entre dans les objectifs avoués de la Franc-Maçonnerie.

C'est ainsi que certains profanes frappent à nos portes non pas pour se construire un réseau, mais pour présenter leurs idées, leurs projets, les exposant sous la forme de Planches et ainsi tenter (et réussir parfois, selon la valeur morale et l'objectivité accordée au sujet) de mettre en branle le réseau Maçonnique pour l'accomplissement ou la mise en place du projet concerné.

Plus souvent, ces projets sont discutés, peaufinés, au point parfois d'être totalement ou presque modifiés, mais toujours après de nombreuses discussions mises à l'Ordre du Jour.

 

Il faut absolument avoir conscience qu'en Franc-Maçonnerie, personne ne décide seul de quoi que ce soit ! Le Sérénissime Grand Maître, équivalent d'un Président, plutôt d'un Pape, en tout cas équivalent d'une autorité suprême, n'a justement d'autre autorité que celle de transmettre après qu'elles ont été votées au sein des loges (manque volontaire de précisions, et je vous demande de m'en excuser, mais je ne peux pas non plus tout dévoiler ici), les décisions afin qu'elles soient justement appliquées par l'ensemble des Loges « appartenant » à l'Obédience.

Comme nous l'avons vu dans la présentation de la Franc-Maçonnerie, elle a vocation à « tirer l'Humanité vers le haut », donc aucune surprise de la trouver au(x) gouvernement(s) et dans la vie associative, à agir, œuvrer, pour le bien de la population, de la Nation. D'autant que la Franc-Maçonnerie est aujourd'hui totalement Républicaine, bien que les « Rose-Croix » sont issus de la Royauté (je vous laisse entamer vos propres recherches...).

Ce dernier paragraphe vous amènera à comprendre que contrairement à ce que certaines rumeurs laissent entendre, la Franc-Maçonnerie n'est aucunement une secte. Si à l'inverse d'une secte, il est difficile d'y entrer, il est extrêmement facile d'en sortir. Rien ni personne ne vous empêchera de quitter la Loge où vous aurez été reconnu et aurez œuvré, pourvu que, comme au sein de toute association de type Loi 1901, vous vous soyez acquitté de votre cotisation en cours, appelée en Maçonnerie, Capitation.

 

Il est encore une dernière raison justifiable qui incite les hommes et les femmes « de bonnes mœurs » à franchir les colonnes : l'évolution morale personnelle, la quête insatisfaite de la vérité... de LEUR Vérité.

En effet, quelque soit notre personnalité, chacun de nous s'est à un moment donné de son existence (pour les plus jeunes d'entre nous, cela viendra certainement un jour), demandé pourquoi ce passage sur Terre, pourquoi cette vie et ses contraintes, ces épreuves imposées par le « destin » ou par « Dieu »... C'est parfois une motivation pour entrer en Franc-Maçonnerie. Le simple fait d'entamer des recherches sur des sujets différents et variés amenant tôt ou tard à aborder sous des angles symboliques, avec un regard plus général, en Travaillant sur ses propres Planches puis en en débattant en Tenue (réunion), des sujets qui parfois nous posent personnellement problème ou questionnement, permet souvent au Frère Maçon de trouver ses propres réponse, sa propre Vérité... Est-ce LA Vérité ?

La Franc-Maçonnerie nous amène à comprendre seuls qu'il n'y a aucune Vérité qui soit accessible communément à tous. Que chacun trouve les réponses à ses questionnements intimes, que chacun trouve en lui les scories caractérielles qui font de lui un Être « imparfait », donc soumis à des réactions ou pensées inappropriées à certains événements, certaines circonstances.

Je prendrai pour exemple le cas de certaines personnes qui, lors d'une discussion, d'un échange d'idées coupent automatiquement la parole à leurs interlocuteurs ou cherchent sans cesse à terminer les phrases de ceux-ci, imposant finalement par la lassitude qu'ils provoquent leurs propres idées (ou tentant de le faire) et ferment ainsi tout espoir de libre expression...

De même ceux qui sans cesse se citent en exemple, et utilisent leur propre expérience existentielle pour suggérer, lorsqu'ils ne les imposent pas, des règles comportementales, voire une philosophie uniquement fruit de leur cerveau égocentrique et nombriliste... C'est en quelque sorte, le fameux « Moi, Je... » « J'ai fait... » « J'ai déjà vu ça, et... » et le coup fatal : « JE SUIS SÛR QUE TU... »

Ce genre de chose ne peut avoir cours en Tenue Maçonnique. Chacun à le même droit d'expression, le même droit de penser et de présenter sa vérité, ou une ébauche de celle-ci.

Seul, l’Apprenti ne peut s'exprimer en usant de la Parole durant la Tenue, et cela durant une période de trois ans. C'est le temps nécessaire pour qu'il « grandisse », et apprenne à « tailler sa pierre », c'est à dire à éliminer progressivement les imperfections de son comportement profane, tel que le fait de couper la Parole à un intervenant, fut-il à un degré moins élevé (on appelle degré, ou grade – mais je n'aime pas trop grade, qui évoque le rang militaire, alors que nous sommes bien loin de cet esprit militariste- les différents niveaux maçonniques... Apprenti, puis Compagnons, puis Maître, etc...). Il est contraint, durant ces trois ans, à écrire ses questions, ses réflexions, pour les transmettre au Maître responsable de son comportement (respect du rituel) en Loge, celui-ci les exprimant POUR l'Apprenti lorsque la Parole lui est à son tour attribuée.

Les impétrants venus sous ce motif personnel pourront très bien repartir une fois leurs réponses trouvées, comme ils pourront, ce qui est le cas le plus fréquent, rester à œuvrer en Maçonnerie, et ainsi aider leurs Frères nouvellement Initiés à trouver eux-même leurs réponses, leur Vérité, et perpétuer ainsi la « Tradition Maçonnique » et l’œuvre des Francs-Maçons...

 

 

Tonton Ric