Jill, je t'ai lue, mais je ne peux absolument pas commenter ! Est-ce ce bon Alastair qui se venge ainsi que je l'aie délaissé ?

 

 

 

 

Allons, allons, Alastair, tu es assez grand pour te balader tout seul, sans attendre que j'aie assez de temps pour te bouger les ficelles, non ?

 

 

Ah, je vois, tu voulais un câlin, toi aussi ? Mais oui, mais oui !

 

 

Et tu te donnes du bon temps, chez Jill (clic !) ! Merci, merci et gros bisous, d'accueillir le lascar en votre château, M'dame la baronne !

 

 

Lenaïg

 

 

Note : mon administration est par ailleurs depuis un certain temps très lente à la manoeuvre, cela devient fatigant. Ce n'est quand même pas dû à un trop grand encombrement ? Nous sommes connus, les colocs et moi, nous avons plein d'amis ici, mais on ne se bouscule pas encore au portillon ! Bizarre.

 

 

 

Aimez-vous NCIS ?

 

 

 

 

 

Il y a de cela environ cinq, six ans,

La télé nous montra les premières enquêtes

De la NCIS, des moments palpitants ...

Saison après saison, plus rien ne les arrête !

 

 

Elles sont toujours là, ces enquêtes spéciales

Et il s'en est passé, depuis la Saison "Un" ...

Oh, quand Kate périt, en plein front d'une balle,

Tout le monde s'émut ... S'inscrivit le mot Fin !

 

 

Un mélange étonnant, et détonnant aussi,

Esprit patriotique et grande indépendance ...

Gibbs a ses conceptions de ce qu'est Semper fi !

Est-ce donc pour cela qu'on l'aime tant, en France ?

 

 

Un champ d'action local, ou international ...

Et de quoi s'agit-il ? Meurtres chez les Marines !

Et on n'est jamais sûr où se trouve le Mal ...

Au milieu de l'enfer, une Abigail câline !

 

 

Des hommes attachants, et s'ajoute Ziva !

Tony vantard, McGee le Bleu, nul n'y résiste,

Le bon Docteur Mallard, on y croit, on y va !

Ils parlent de leur vie en cherchant toute piste.

 

 

Je m'égare et reviens vite sur les câlins !

Je veux mettre en lumière Abby la scientifique,

Serrant tous dans ses bras, et Gibbs s'en trouve bien !

Montagne de tendresse en son habit gothique.

 

 

Lenaïg

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

FRANC-MACONNERIE

POURQUOI ? COMMENT ?

QUEL INTERET ?

 

 

D'abord, la première question logique est :

 

QU'EST-CE QUE LA FRANC-MACONNERIE ?

 

 

 

 

 

 

Lorsqu'on « frappe à la porte » des Franc-maçons, c'est bien souvent par cooptation, par curiosité parfois, par intérêt, malheureusement, quelquefois aussi.

Dans ces conditions, seuls quelques rares impétrants connaissent vraiment le sens et l'implication de l'entrée en Franc-maçonnerie. C'est, trop souvent, seulement au cours de leur apprentissage que les « Apprentis » découvrent l'histoire de la Franc-maçonnerie et le véritable sens de l'engagement auquel ils viennent de « prêter serment ».

Le « Catéchisme » maçonnique décrit la Franc-maçonnerie par cette définition :

...Une alliance universelle, Institution Humanitaire et Philosophique, qui a pour but le Perfectionnement Intellectuel et Moral de l'Humanité...

Bien que n'étant aucunement une religion, la Franc-Maçonnerie revendique le fait de relier les Hommes par le seul fait de reconnaître que chacun d'eux est une créature de l'univers, donc semblable et égal à tout autre Homme sur Terre. Dans le langage maçonnique, on parle de Grand Architecte de l'Univers plutôt que de Dieu ou Allah ou tout autre dieu de notre époque.

Être Franc-maçon ne s’apprend pas, au fond... On est (On naît, peut-être aussi...) Franc-maçon. Car pour déjà réussir à être admis au sein de cette « institution », il faut posséder, en théorie, un certain sens Humaniste, et, par exemple, être « l'Ami du Pauvre autant que du Riche » et ne reconnaître aucune injustice comme justifiable.

Ceci, bien sûr n'est qu'une ébauche, une présentation succincte de la Franc-maçonnerie. Car le Franc-maçon que je suis est soumis sinon à un « Secret », au moins à la Discrétion.

Pour savoir réellement comment fonctionne la Franc-maçonnerie et en quoi elle consiste, il faut en premier lieu apprendre son histoire, ou au moins en faire une approche (ce que je vous propose aujourd'hui), mais surtout, la vivre « de l'intérieur ».

Comme une messe, comme une société secrète, une confrérie, et autre regroupement d'individus, la Franc-maçonnerie est soumise à un certain rituel, normalement immuable (mais nous verrons ensuite que ce n'est pas vraiment le cas...), qui lui vaut cette notion de « Mystère » ou de « Secret ». Si les rituels religieux sont ouverts à tous, le rituel Maçonnique n'est connu et ne doit être connu que des seuls initiés. Certes, il existe des réunions, dites « Tenues Blanches », ouvertes aux « Profanes », mais elle restent rares et ne se pratiquent pas dans toutes les Obédiences. De plus, ces Tenues Blanches ne sont nullement pratiquées en tenant compte du rituel « normal » que seuls les « Initiés » sont à même de pratiquer autant que de connaître. L'avantage que présentent les Tenues Blanches est de laisser apparaître le genre de Travail qui s'opère au sein d'une Loge, ainsi que de montrer de façon discrète à quelle orientation est soumise l'Obédience à laquelle appartient la Loge.

Il y a, aux niveaux les plus « communs », trois façons de travailler dans les Loges, et donc trois Obédiences distinctes :

Les Obédiences à tendance « Symbolique », celles à tendance « Politique », et enfin les Obédiences à tendance « Humaniste ».

Pour les lecteurs qui souhaiteraient avoir plus d'informations à ce sujet, je conseille vivement d'entamer d'autres recherches plus personnelles et plus motivées que le survol que je fais ici, de la Maçonnerie.

Voici donc décrite, encore une fois, je le souligne, succinctement, la Franc-Maçonnerie.

 

 

 

En ce qui concerne son histoire, deux thèses se distinguent.

Certains font remonter la Franc-Maçonnerie à l'époque des Chevaliers de l'Ordre du Temple (fondé en 1129), après l'extermination de 54 de ses membres, et notamment l'arrestation puis l'exécution sur le bûcher de Jacques de Molay par le Pape Clément V, sous le règne de Philippe Le Bel, en 1310.

Cet ordre créé pour accompagner les « Pèlerins puis les Nécessiteux et autres Pauvres et Miséreux » lors des « Guerres de Religions » et des Croisades fut dissout en 1312. Les « chevaliers errants » ayant survécu aux arrestations et donc échappé au bûcher, se seraient disséminés dans toute l'Europe et auraient fondé des embryons de Loges dans lesquels aurait été « enseigné », cultivé plutôt, le sens humaniste, protectionniste, des Chevaliers de l'Ordre du Temple, Loges forcément secrètes puisqu'eux-même étant recherchés par les armées papales. Si cette version est contestée par les membre de l'OSMTH, Ordre Moderne Mondial des Templiers que j'ai eu l'occasion de côtoyer à plusieurs reprises en ma qualité de Franc-maçon « invité », elle reste encore couramment répandue. Et la question se pose, peut-être, de savoir si elle ne fait pas partie de ces fameuses légendes concernant l'Ordre des Templiers, aujourd'hui disparu dans sa conception initiale, dont aujourd'hui encore certains pseudo-historiens ou autres illuminés cherchent encore le « Fabuleux Trésor ». Nous pourrons, si vous le souhaitez dans vos commentaires, voir ensemble un peu plus profondément ce que fut la véritable histoire des Templiers lors d'une autre « enquête »...

 

 

 

 

 

 

 

 

 

La seconde thèse, de loin la plus probable, remonte à l'époque des Compagnons Bâtisseurs. L'histoire veut que qu'un riche écossais ayant remarqué que les Compagnons se réunissaient entre eux, en secret, afin de... Mais de quoi ? Il espionna donc un groupe de ces Compagnons, et, caché, fut témoin du rituel de cette réunion, apprenant ainsi « frauduleusement », le secret des Compagnons.

Il reporta ce rituel « volé » dans un salon bourgeois où il entreprit de « philosopher » à propos des choses de la vie, tout en utilisant le langage « Compagnonique ». Ainsi pourrait-on dire en Franc-maçonnerie, que le Travail que j'ai le plaisir de vous présenter ici est une « Planche Tracée», locution tirée directement des pratiques des Compagnons qui, pour expliquer un plan sur un chantier, le dessinaient sur des planches afin qu'il soit visible à toute personne concernée. D'où aussi, le verbe « Plancher ».

Il existe bien d'autres versions concernant les origines de la Franc-Maçonnerie, légendaires et plus ou moins farfelues, et les réseaux du net contiennent suffisamment d'informations pour que vous puissiez vous-mêmes vous faire une idée à propos de cette institution que je tente de vous faire visiter aujourd'hui.

Prochain Chapitre :

POURQUOI DEVIENT-ON FRANC-MACON ?

 

 

Tonton Ric

 

 

 

Tu saisis "Pattes de velours !"

Quand tu veux jouer, tu oublies,

Griffes ne rentres pas toujours ...

On te le dit, c'est l'accalmie !

 

Des grands miaous, des petits mias,

Tu comprends tout lorsqu'on te cause,

Tu nous exprimes tant de choses

Mais nous, bêtes, ne pigeons pas !

 

Tu restes toujours un félin,

Charmante petite Chatine,

La fifille qu'on aime bien,

Indépendante mais câline !

 

Lenaïg

 

***

 

 

ET ! ... et, et, et ! Sur cette page, j'ai envie d'aiguiller, en premier lieu,  les lecteurs sur un voyage extraordinaire, initié par   Hauteclaire, qui fait vivre ma communauté Feuilletons, histoires à suivre, etc, alors que moi je suis très en retard et que ma propre fusée n'a pas encore décollé, grrr, je suis en colère contre moi-même, mais je vais me rattraper !

Ah ah, Rahar, il n'y a pas que toi qui nous propulse dans les galaxies ! D'ailleurs, il serait chouette que nous postions aussi une nouvelle de ton cru dans ma communauté, que j'en écrive une aussi !

Merci, merci, Hauteclaire (clic !)

 

Mais Hauteclaire n'est pas la seule ! Il y a Jill Bill qui, comme Hauteclaire et moi (Mona très passagèrement aussi), avons commencé à faire évoluer mon p'tit fantôme Alastair ... Lorsque Jill, Hauteclaire ou moi, lui inventeront de nouveaux épisodes, nous le ferons savoir !

 

Et tout aussi important et passionnant :

Dominique (Antidotes),

Le grain de sable à épisodes (clic !),

ou le doux souvenir d'Askan, compagnon canin, lui,

aujourd'hui disparu (clic !).

 

Et le monde chaleureux et passionnant de Bigorbourg chez Martine27 et son Carnet à malices (clic !).

 

 

 

 

 

Ruban de cristal

 

au soleil fond en éclats

 

fracas   l’eau trouble.

 

 

 

 

Ruée sous glaces

 

froid couve chaud le printemps

 

déborde crue des eaux.

 

 

 

 

Marie Louve,

 

Textes et photos : la débâcle au Québec (2004).