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Par lenaig boudig le 4 Avril 2010 à 11:35
Joyeuses fêtes de Pâques à tous ! Offrons-nous des oeufs, des poissons, des lapins, des poules en chocolat, du noir, du chocolat au lait, du blanc selon ce que vous préférez, virtuels et en vrai !
Mais ... admirez ce bouquet, que Victoria m'a offert pour mon anniversaire ... C'est sur Plumes au vent que tu me l'as apporté, mais j'ai bien le droit de l'emporter ici aussi, non ? Merci beaucoup, Victoria !
Et pensez à jeter un oeil sur le nouveau scoop, page d'accueil en haut à droite : il y est question de ... Rahar !
Pour plus de renseignements, voici une adresse email : www.TheBookEdition.com
(Demander le catalogue et cliquer sur S-F et Terreur)
Merci beaucoup, Mona !
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Par lenaig boudig le 26 Février 2010 à 11:35
Anna l'avait aperçu, en descendant ouvrir la porte de la rue. Il était en bas des marches, au pied de la véranda. Mais Léna ne le savait pas.
Un peu plus tard, Léna sort et ... que voit-elle, escaladant tranquillement le côté vertical d'une des marches ? un bel escargot adulte, l'air sportif, au pied long et agile, coquille en camaïeu marron. Fascinée, elle plaque la main gauche, paume en l'air, tout en haut de la marche pour l'attendre et elle s'assoit.
Il arrive ! Un de ses yeux au bout d'une des plus hautes cornes touche le bord de la paume de Léna, se rétracte, ondule puis ses quatre cornes examinent l'entité. Il se dit : "Tiens, allons voir ce que c'est. Il s'engage sur la main de Léna, qui sent un contact doux et pas spécialement baveux. Elle lève la main à hauteur de son visage et ils se regardent.
Léna se déplace pour aller le poser sur le ciment devant la maison. Monsieur, ou est-ce Madame, ou les deux ? merveilleux pour cet animal de pouvoir choisir ! Léna pense que, là, c'est monsieur. Monsieur, donc, avance sa tête sur le ciment et décide : "Non, cela ne me plaît pas ! Je retourne sur cette entité qui m'a accueilli et je me réinstalle dessus".
Oh joie ! Il veut rester avec moi ! se dit Léna, qui se remet debout. Le vent agite les cornes de Nescargo dans tous les sens. Léna le protège de son autre main et l'emmène dire bonjour à Anna. Ils traversent la maison. Nescargo, loin de se replier à l'abri dans sa coquille, se tient le pied vertical, droit comme un i, visiblement en train d'étudier son nouvel environnement. Il salue Anna dans cette position.
Ils sont ressortis et Léna l'a transporté jusqu'à la petite haie dans le jardin. Là, il n'a pas pu résister, sa tête a quitté la paume de main. Il a bu une goutte d'eau sur une feuille et s'est senti une petite faim. Alors il a glissé sur la haie et s'est enfoncé dedans.
Léna doucement lui a dit : "Au revoir, mon ami !"
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Par lenaig boudig le 14 Février 2010 à 11:06
Petite actualité magique pour les petits et grands enfants
Le gros ours de lumière des JO de Vancouver !
Enfin, je l'ai vu, Marie-Louve ! Dommage que la photo lui masque les oreilles ! Magnifique !
tralalalatralalalatralalala
Petite actualité sarcastique, ou malicieuse, un courriel qui circule ...
Et en plus, il n'y a qu'une seule flèche !
tralalalatralalalatralalala
Deux baisers célèbres pour la St Valentin !
Rodin et Picasso !
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Par lenaig boudig le 29 Janvier 2010 à 17:38Note : il s'agit ici d'infos et histoires qui se transmettent de mail à mail.
J'ai bien apprécié cette sélection d'Anaëlle.
Merci Anaëlle pour cette première superbe histoire, vraie !
***
"BELLE HISTOIRE D'HOMME ET DE CHIEN
Le baiser
Il venait juste de la sauver de sa maison en feu,la sortant sur le parterre avant tout en retournant combattre l'incendie. Elle attendait des bébés.
> Le pompier eut peur d'elle en la sortant parce qu'il n'avait jamais côtoyé de Doberman avant.Quand finalement l'incendie fut contrôlé, il s'est assis sur le gazon pour reprendre son souffle et prendre un peu de repos.
> C'est à ce moment qu'un photographe du journal "The Observer" de la ville de Charlotte,Caroline du Nord a remarqué que la femelle Doberman fixait le pompier.
> Il l'a vu s'approcher du pompier et se demandait ce qu'elle avait l'intention de faire. C'est alors qu'il la vit donner un baiser à l'homme qui l'avait sauvé du brasier ! Et dire qu'il y a des gens qui pensent que les animaux sont stupides !Ce courriel doit continuer de circuler... "
***
Et encore merci, Anaëlle, pour cette histoire étonnante, moins crédible mais bien originale !
***
"Le fils d´un Émir arabe part étudier en Allemagne.
> > >
> > > Au bout d´un mois il envoie une lettre chez lui avec ces mots :
> > > " Berlin est superbe et les gens sont sympas et ça me plait beaucoup ici mais j´ai un peu honte
> > > d´arriver à l´école avec ma Mercedes en or alors que mes professeurs descendent du Tramway ".
> > > Au bout de quelques jours le fils reçoit une lettre avec un chèque de 1 million de Dollars avec ces quelques mots :
> > > " Ne nous fais pas honte plus longtemps, va t´acheter aussi un Tramway ". "
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Par lenaig boudig le 18 Janvier 2010 à 15:27
Un des meilleurs moments de la journée, pour moi c’est le petit déjeuner. C’est une heure magique, prometteuse, gorgée de suspense. En temps de crise, c’est le calme avant la tempête, l’œil du cyclone. En temps de paix, c’est l’attente émoustillée des événements, des surprises, des rencontres à venir. Le tableau de la journée future vient se tapir dans ma tête, bien coloré.
Si je suis seule et réveillée très tôt, je me prépare mon tableau, heu pardon mon plateau et me l’apporte dans mon lit. Un bon café, du pain, une tranche de fromage, trois cuillerées de confiture de myrtilles, un jus d’orange à côté et le tour est joué. La radio est allumée, les infos défilent en sourdine. Après, il faudra « se lever, se laver, se vêtir », comme chante Charles Trénet.
Si je suis en compagnie, je sors du lit et cela se passe toujours dans la bonne humeur. A deux ou à plusieurs, je n’ai jamais connu de petits déjeuners moroses. Autour d’une table ronde, pour moi c’est l’idéal. Les angles, on aura tout le temps de les affronter, les contourner dans la journée. Quelqu’un lit à voix haute les nouvelles dans le journal, tout le monde les commente. Oh, bien sûr, il n’y a pas assez souvent de quoi se marrer.
Les gros et petits nuages noirs qui tournent autour des têtes des gens mal réveillés, les brumes épaisses qui cachent complètement ceux qui viennent d’arriver, tant qu’ils n’ont pas pris leur café, ou leur chicorée, comme dans les pubs à la télé, j’ai de la chance, je ne les ai pas vus en vrai. Je les ai sentis autour de moi, quand j’étais déprimée, ce sont surtout les autres qui les voyaient. Mais cela n’a pas duré.
« C’est la cafetière qui passe ! »
Comme j’aimais cette phrase, lorsque la porte s’ouvrait, dans ma chambre chez mes parents quand j’allais en week-end. C’était ma mère qui entrait, pour une deuxième tournée de café. Souvent, même en week-end, j’étais réveillée tôt, habituée au rythme de la semaine, je préparais le café, me faisais un plateau et retournais me coucher, pour regarder et lire les magazines que ma mère mettait de côté. Des fois, après, je me rendormais !
Maintenant, c’est moi qui ai le plaisir de prononcer cette phrase, quand je suis chez ma mère et qu’elle est passée au salon, avec sa tasse de café.
« C’est la cafetière qui passe ! », quelle phrase enchantée !
Lenaïg
Mars 2008
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