• Animal Family - A bird - Léo

     

     

    Un mystérieux prénom : Quiriace !

    Mais qui est-il ? Cela m'agace !

    Un poisson, pirahna vorace ?

    Un animal à carapace ?

     

    Un poulpe qui remplace Paul,

    Pour les pronostics du football ?

    Mais non, c'est un autre hi hi lol !

    J'en ris et fais baver mon khôl ...

     

    Datant de l'époque romaine,

    Cela j'en suis presque certaine ...

    Evoque-t-il le sang, la haine,

    Se battit-il pour une reine ?

     

    Je ne suis pas devant l'ordi

    Pour la récré du mercredi ...

    Je vais paresser, je me dis,

    Lire des autres les écrits !

     

    Lenaïg,

    qui n'est pas maquillée, ne met pas de khôl et n'a même pas encore pris sa douche !

    Ben quoi, j'ai droit à des vacances aussi, même si mon pain va être de plus en plus dur à gagner,

    bof, lot commun de bien des humains, mais faut-il se résigner ? Non.

     

    Illustration :

    L'oiseau, oeuvre de l'artiste Léo, avec son aimable autorisation.

     

     

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  • Alastair

     

    Voici la suite et la fin de la Malédiction du double six ! Je n'interviens, bien sûr, que pour mettre aussi en forme que possible le récit de notre petite fille, dont le prénom est, au fait, Emilie, et qui écrit déjà pas mal, pour son âge (enfin, je trouve !). Alastair, mon fantôme, un de mes tout premiers essais en dessin à l'ordinateur, me prête son concours pour l'illustration. Il donne un indice sur la tournure des événements, non ? Si fantôme il y a, est-il gentil, est-il méchant ? On le verra, mais aucun drame affreux ne se déroulera ...

    Lenaïg

    ***  

     

    Ce que papa avait déclaré, enthousiaste,lors de sa visite d'inspection, c'est que le site était magnifique pour des excursions à vélo dans la nature, quand les arbres commenceraient à reverdir tout comme les talus, sur les sentiers, les petits ponts sur les nombreux ruisseaux ; que, par ailleurs, la maison était très intéressante à explorer dans ses moindres recoins, qu'on pourrait y jouer à cache cache et que, je le cite : "fantôme ou pas, il n'y avait absolument aucun danger" ...Maintenant cela me revient : il n'a jamais dit qu'il n'y avait pas de fantôme ! Et moi, qui aime bien les histoires de fantôme dans les livres ou les films, j'en ai pourtant très peur, je n'ai donc entendu que ce que je voulais entendre !

     

    Lorsque nous sommes arrivés, vers 6 h 00 du soir la semaine dernière, je suis entrée avec appréhension dans la maison mais je n'ai rien éprouvé ni senti de particulier, sauf un curieux courant d'air, qui est venu serpenter entre nous quatre à plusieurs reprises. Tout de même, on avait laissé la porte d'entrée entrouverte pour que papa, qui déchargeait les bagages puisse entrer à son aise et il a eu la surprise de voir ladite porte s'ouvrir en grand devant lui ! Or, aucun d'entre nous ne se trouvait à proximité ! Il nous a rejoints en nous le racontant et en donnant son avis que nous avions l'air d'être acceptés par le terrible maître des lieux ! Maman ne l'a pas cru et il a juste souri ...

     

    Nous avons choisi nos chambres. Moi, on m'a laissé choisir celle qui est dans l'angle et dispose de trois fenêtres et de trois vues différentes, j'étais ravie ! Il y avait deux lits jumeaux ! Papa et maman ont pris celle qui donne sur la façade, disposant de deux fenêtres ouvrant sur le balcon. La troisième chambre n'a qu'une seule mais grande fenêtre ; angle droit pour les murs de ce côté-là, adossé à l'ancienne écurie, qu'on rejoint par l'extérieur, en ouvrant une barrière au milieu d'une haie touffue. Cette pièce, devenue chambre, où trône un grand lit,  le propriétaire ne nous l'a pas caché que c'était autrefois le bureau où son aïeul avait mis fin à ses jours ...On a laissé Paul décider laquelle il voulait : soit celle-là, du même côté que les nôtres, soit une autre, qui donnait sur le jardin en friche derrière. Il a dit péremptoirement : "Je veux la chambre du fantôme !'

     

    Pendant que maman préparait les couchages et rangeait nos affaires et nos vêtements, papa et nous deux sommes allés faire le plein de nourriture à l'épicerie du village avant la fermeture. Quand la marchande a su où nous étions hébergés, elle s'est écriée : "Ah ben, vous, vous avez bien du courage ! Déjà, monsieur, il paraît que vous avez passé une nuit tout seul au manoir ? Il s'y passe pourtant de drôles de phénomènes parfois et tous les touristes jusqu'à présent ont décampé rapidement ! De l'extérieur, il arrive qu'on aperçoive comme une lumière, ou  une lueur qui se déplace de pièce en pièce. Jusqu'à présent ces étranges phénomènes se sont produits seulement la nuit, c'est pour cela que Madame Sylvette s'y risque, en plein jour, pour entretenir les lieux ; le propriétaire la paie bien et cela complète sa pension de veuve ... Je vous souhaite un bon séjour et des nuits calmes, mais, moi, on me paierait que je ne dormirais pas là-bas !"

    ***

     

    Le premier matin, en sautant de mon lit, qu'est-ce que j'ai aperçu, dans ma chambre ? Pas le fantôme, mais les cheveux en broussaille de mon frère Paul, qui dépassaient de la couette du lit du lit jumeau ! Il dormait profondément. A la cuisine, j'ai retrouvé mes parents et je me suis mise à rire, en leur annonçant que Paul avait dû avoir peur dans sa chambre hantée, puisqu'il s'était réfugié dans la mienne ! Paul a dormi une bonne heure de plus et quand il a fait son apparition, mes parents m'avaient fait la leçon et je ne me suis pas moqué de lui car, moi, je n'avais même pas osé y entrer, dans la fameuse chambre ! Tout ce que Paul a dit, c'est : "Oh la la, il faisait un froid de canard dans cette maudite chambre. Malgré le radiateur chaud et ma couette, j'avais des frissons et je me suis senti angoissé. Oh, ça va, vous pouvez rire, c'est sûrement que j'ai trop d'imagination !" Nous n'avons pas ri et il a été rassuré quand maman lui a dit que du moment qu'on ne se disputait pas, on pouvait très bien dormir dans la même chambre.

     

    La nuit suivante, Paul s'est encore couché dans ma chambre. Seulement, au matin, il n'y était plus ! J'ai fait un effort et je suis allée entrouvrir la sienne : Paul était dans son lit, endormi, son téléphone portable posé sur le grand lit, écran allumé ! J'ai pensé avoir la berlue, j'ai prévenu maman et quand nous sommes remontées, le téléphone était éteint. Maman l'a posé sur la table plus loin. Il a plu et Paul a passé une bonne partie de son temps au grenier. Dans la soirée, il a apporté au salon un jeu de petits chevaux ancien aux couleurs passées mais auquel aucune pièce ne manquait, et aussi un très vieil album de photos. Il nous a montré le portrait d'une famille des années 1900, un père, une mère, un garçon et une fille, comme nous quatre, posant en souriant. Il a mis le doigt sur le père en affirmant : "Le fantôme, c'est lui l" Papa, très intéressé, s'est penché sur la photo en disant qu'on demanderait confirmation au propriétaire du manoir.

     

    Un rond de lumière a tout à coup pris possession de l'endroit de la photo où se tenait le père, cheveux clairs et barbichette. Le soleil venait de se montrer, comme pour nous narguer avant la nuit et ses rayons éclairaient le salon en oblique. Pourtant, la tache lumineuse avait l'air d'être indépendante ! Papa a passé la main dessus, l'air intrigué. Elle s'est estompée lentement. Maman a interrogé Paul : "tu te sens bien dans ta chambre, maintenant ?" Paul s'est illuminé : "Oh oui ! Je suis fier, j'ai vaincu ma peur ! Le fantôme, qu'il soit dans mon imagination ou pas, je m'en suis fait un copain ! D'ailleurs, j'ai envie de m'entraîner aux dés, je veux réussir des doubles six !" Il s'est emparé des dés du jeu de petits chevaux et il a essayé, en pestant car il n'y arrivait pas ! Papa l'a taquiné et mis en garde : "Attention, Paul, n'en fais pas une obsession, c'est comme ça que les ennuis commencent !" Paul a rétorqué : "Mais non ! Il m'a ... heu, j'ai fait un rêve la nuit dernière à propos de la malédiction ! Elle sera levée si, dans cette maison, quelqu'un rejoue à nouveau aux dés, à condition que ce soit la même personne qui réussisse dix fois le double six ! A la dixième, le fantôme sera libéré !"

     

    A ce moment-là, le téléphone a sonné. "Tu veux bien aller répondre, Emilie, c'est toi qui est la plus près ?" a demandé maman. J'ai bondi. J'ai pensé que c'était un correspondant qui s'était trompé, j'ai eu le temps d'entendre la voix d'un vieux monsieur qui avait des difficultés d'élocution, mais qui avait un ton joyeux, puis plus rien. Sans être coupée, la ligne a semblé se perdre dans l'infini ... En cette deuxième semaine de vacances, où j'ai appris des choses importantes et en soupçonne bien d'autres, je frémis mais pas d'épouvante ! Non, d'excitation et de plaisir ! A moi aussi il a parlé, cette fois-là. La voix, en effet, disait : "Je veux vous remercier pour votre aide. Je ne suis plus seul et c'est déjà beaucoup ..."

     

    Pfou, je tombe de sommeil et je veux conclure de mon mieux mes révélations. Maman pense que son fils a vraiment beaucoup d'imagination, papa n'arrête pas de seriner qu'il n'a jamais passé des vacances aussi extraordinaires. Paul en est à sa troisième réussite de double six et m'a fait jurer de ne parler à personne de son secret. Mais écrire ici ce n'est pas pareil ! Il m'a dit qu'il s'est renseigné à propos des fantômes sur le net et que nous avons eu énormément de chance de tomber sur un gentil et de comprendre qu'il l'était ! Le nôtre n'a rien de vicieux et n'a jamais cherché à produire des illusions effrayantes ou à nous pousser vers la folie, comme d'autres ... En tout cas, nous avons plu à celui-ci ; même s'il reste invisible, la communication s'est établie et il se pourrait même qu'on soit triste quand Paul achèvera sa série de dix doubles six : notre fantôme ne sera plus rattaché à notre monde et disparaîtra ! Où, cela je ne le sais pas ! En attendant, je crois qu'il converse réellement avec Paul par l'intermédiaire de son téléphone portable et qu'il lui donne des conseils pour lancer les dés ! Nous allons revenir au manoir aux prochaines vacances et je me demande si le fantôme va nous suivre à Paris entre temps, ou rester ici ... Paul ne veut rien me dire, mais je saurai bien !

    ***

     


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    Fantôme et Alice 2

     

    La quinzaine de m'annette link 
    est consacrée au jeu, aux jouets pour la poésie et ...

    au jeu de dés pour le défi des Croqueurs n° 53 de ce lundi.

    Je ne connais rien aux jeux de dés, sauf que je les ai fait rouler quand j'étais petite et qu'on jouait aux petits chevaux ou au jacquet !

    Pourtant, j'ai quelque chose à raconter, enfin pas moi,

    ma petite narratrice ...

    En illustration, je viens de retrouver dans mes vieux cartons à dessin

    une reproduction en grand d'une page d'une aventure d'Alice détective (que je dévorais dans la Bibliothèque verte) et que j'avais pris plaisir à dessiner et colorier, je vais la glisser ici, hi hi ! Le fantôme dessus est vraiment effrayant, j'ai oublié l'histoire (policière) et ce n'est pas la même que celle-ci, mais fantôme il y a, j'espère que cela conviendra !

     

    ***

     

    Je viens d'avoir huit ans et mon frère en a quatorze. Pour mon anniversaire, maman m'a acheté un cahier secret, avec un cadenas, celui qui a un magnifique cheval blanc en gros plan au recto de la couverture et plusieurs petites photos d'autres chevaux, gris et marron au verso et, surtout, il a un cadenas ! J'aime écrire en m'appliquant pour former de belles lettres, contrairement à mon frère qui fait tout sur son ordinateur et si j'ai voulu ce cahier secret, c'est pour y inscrire une histoire fantastique, qu'on croira imaginée alors qu'elle nous est arrivée, en vrai !

     

    Ah mais, que je n'oublie pas de dater ce que j'y mets. La maîtresse nous rabâche cela, à l'école, que nous devons dater le moindre bout de papier ! Il paraît que, si nous n'en voyons pas encore l'intérêt, plus tard quand nous serons vieux, nous nous en mordrons les doigts si nous relisons nos écrits et regardons nos dessins et ne sommes pas capables de nous souvenir de l'époque où nous les avons réalisés. Voilà, c'est fait !

     

    Avec papa, maman et mon frère, nous sommes en train de passer des vacances extraordinaires. C'est mon frère qui est le plus marqué par ce qui s'est passé la première semaine ; c'est lui qui a tous les éléments pour raconter, mais pour le moment il se tait. Alors, moi je vais me dépêcher de déposer sur mon cher cahier tout ce que je sais.

     

    Sur internet, pour les vacances de Noël, papa avait repéré la location d'une grande propriété dans la Creuse, à un prix étonnamment bas. Un week-end, il s'y est rendu seul pour voir, il est revenu enchanté, enfin au sens figuré, car il n'y a pas plus rationnel que papa et pourtant ... Le propriétaire, qu'il a rencontré, ne lui a rien caché : la demeure était hantée ! L'un de ses aïeuls s'y était suicidé, il y a de cela un siècle, ou même deux et son fantôme ne se décidait pas à quitter les lieux. L'aïeul était un drogué du jeu ! A quel jeu jouait-il ? Je ne m'y connais pas bien, mais il fallait des dés et il était devenu champion des doubles six ! Il avait étrangement acquis une technique pour obtenir un lancer de doubles six et quand il le désirait, il était rare qu'il rate son affaire ! Sa trouvaille et sa réussite lui étaient monté à la tête. Un jour de folie, il paria une énorme somme d'argent sur son magistral coup de dés et ... il perdit ! Ce jour-là la chance et son tour de main n'étaient pas au rendez-vous ...

     

    Il s'enferma dans son bureau, écrivit une déchirante lettre d'adieu à sa femme et ses enfants et se tira une balle dans la tête. Heureusement, sa femme, elle,  avait la tête bien posée sur les épaules et toute la fortune familiale n'avait pas été dilapidée. Malgré la douleur de perdre ainsi un père et un mari gentil quoique vantard et fantasque, femme et enfants purent continuer à vivre au mieux dans la belle propriété. Petit à petit, la famille s'est agrandie et s'est éparpillée dans le monde entier, à New York, à Milan ou à Paris !

     

    Le dernier des héritiers de la propriété s'efforce de louer celle-ci et c'est une brave dame du village qui vient faire le ménage. Mais les quelques touristes qui se sont aventuré par là avant nous n'y sont pas restés, soit parce que la maison leur a fichu la frousse, soit parce que les bavardages des villageois les ont fait fuir ! Au cours de sa première visite, papa a décidé d'y dormir tout seul, pour voir, condition posée avant la location. Il ne s'est rien passé de bizarre, et il a topé là pour qu'on y vienne tous pour les vacances.

     

    Zut, il est midi passé, maman m'appelle pour aller mettre le couvert, on va déjeuner pour partir en excursion après ! A ce soir, donc, cher cahier, tu devras attendre quelques heures pour mériter ton nom, de cahier secret ! Eh oui, le fantôme du joueur de dés s'est manifesté ! Moi je ne l'ai pas vu, il a dû se dire qu'il me ferait trop peur et sans doute il n'aurait pas eu tort ! Une chose est sûre, il n'est pas méchant, ou plutôt il ne l'était pas ...

     

    Avant de fermer et de tourner la petite clé dans le cadenas, une petite formalité, écrire ceci :

     

    A suivre !

    ***

     

    Lenaïg

     


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  • med-coco-fesse-visoterra-14740

     

    Postérieurs - Assis de dos - Chien pendentifEtre assis sur son séant,

    Sur un banc ou bien céans,

    C'est là chose confortable

    Pour un postérieur affable !

     

    Postérieurs - Assis de dos - LapinsNi trop maigre ni trop gros,

    Juste enrobé comme il faut,

    Car si le pauvre est trop maigre,

    On est mal et peu allègre !

     

    Quand il est très rebondi,

    On a un problème aussi,

    S'il déborde en abondance,

    Occupe place à outrance ...

    Postérieurs - Eléphant de dos 

    Sans être proéminent,

    -Quoique "pro" c'est bien marrant

    Pour notre partie arrière-,

    Il n'est pas tiré d'affaire !

     

    Avec l'âge il prend du mou,

    On n'aime pas ça du tout ...

    On se dit que c'est dommage,

    On rassemble son courage ...

     

    Il faut donc l'entretenir,

    Lui faire un rose avenir,

    Choisir de bons exercices,

    Le muscler, sans artifices !

       

    Lenaïg

     

    Postérieurs - Celui bien galbé de Falbala

     

     

    Illustrations :

    • Les cocos fesses, ces noix des palmiers des Iles Seychelles, photo empruntée au site visoterra.com, Le premier voyage de Lillipuce link
    • Vue postérieure : chien assis de dos pendentif !
    • Vue postérieure : petits lapins assis de dos
    • Vue postérieure : majestueux derrière de pachyderme
    • Vue dynamisante : les formes bien galbées de Falbala, faute d'avoir pu capter et ramener celles de Betty Boop ....

     

     


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  • Muguet sous camélia avril 2011Muguet dans la maison avril 2011

     

    Marguerites

     

    Je pourrais chanter ... le muguet ?

    Sans attendre le premier mai ?

    Mais pourquoi pas, puisqu'il est là !

    Déjà éclos, petit parterre,

    Un coin du jardin de ma mère ...

     

    D'ailleurs il faut se dépêcher,

    Dans un mois il sera passé !

    Il est bizarre, le climat,

    Plus comme avant, plus de repère ;

    Adaptons-nous, on change d'ère !

     

    Pour 2012 on a prédit

    Que le monde serait fini !

    TulipesC'est au calendrier maya ...

    Peut-être est-ce une parabole ?

    Laissons réponses danser, folles !

     

    Tout petits, on ne peut lutter

    Si notre sol est agité ...

    Mettons nos erreurs bien à plat,

    Changeons d'objectifs et de course,

    Plus de profit, de jeux en Bourse !

     

    Le nucléaire est en question,

    Je ne sais s'il faut dire non ...

    Déjà mieux choisir les endroits

    Pour y construire des centrales.

    Azalées rhododendrons avril 2011Quant aux déchets, crainte abyssale !

     

    La fin d'un monde nous permet

    De penser : nous allons entrer

    Dans un nouveau ! Sommes-nous las ?

    Japon détruit, on se désole,

    Fond du panier ... Volent lucioles !

     

    Les lucioles sont lumignons ;

    Pourquoi ne pas les prendre au fond

    Comme symboles d'un éclat

    D'une humanité à renaître

    Sur laquelle ouvrir nos fenêtres.

     

    Lenaïg

     

     affiche Tombeau des lucioles 1988 1

     

     


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