• artpop4 polonais - francopopulis.voila.netNote : réalité, fiction, tout s'entremêle comme les fils de l'intrigue. Voici un échange de courrier, ou de mails, on ne sait plus, où les auteurs et lecteurs s'intègrent aux personnages du roman. Emouvant et digne récit d'une vieille dame du 12 Rue de la Mazurka, qui jette un éclairage historique sur le tout.

    Ce document présente une grande valeur, il ne peut plus être daté avec précision mais il remonte à mi-octobre 2009, peu avant la catastrophe, avant le trou noir qui engloutit tout ce petit monde une nuit de novembre. Lgdm sombra en effet corps et biens.

    Ne pas tenir compte des polices chaotiques, nous ne pouvons y toucher sans endommager le document. 

    ***

    De Jadwiga Zubroskaïa
    rue de la Mazurka
    à
    Lénaig Boudig Kuilh
    aux bons soins de Madame Tavernier
    E.V.

    Objet :

    Mise au point toponymique, historique, géographique et définitive au sujet de la rue "de la Mazurka"

    Madame,

    Depuis que ma bonne amie Madame Tavernier m’a parlé de votre feuilleton et me tient au courant des développements de l’intrigue qui se situe dans la rue même où je réside, je me dis qu’il faut absolument que je vous écrive afin d’apporter les précisions historiques qui semblent grandement vous faire défaut afin de dénouer l’intrigue et bien situer l’action, laquelle, permettez moi de vous le dire, me semble quelque peu embrouillée et peu fidèle à ce que je peux constater de la vie de la rue au quotidien depuis bientôt soixante-dix ans. Oui Madame, je vis ici même, au N° 12 rue de la Mazurka, depuis qu’encore enfant, mes parents ont émigré de ma Pologne natale en m’emportant dans leurs bagages.

    Vous m’excuserez si je suis un peu longue, mais arrivée, bientôt, au terme de mon existence mouvementée, il me semble important, sinon indispensable, de vous faire partager à travers mon expérience de la rue, certaines anecdotes de ma vie passée. En fonction de mes souvenirs, je vais essayer de le faire de manière chronologique, en espérant que cela pourra sinon édifier vos lecteurs, du moins les intéresser.

     

    galerie-membre,pologne-cracovie,cracovie-l-eglise-notre-damJ’avais dix ans à peine lorsque mes parents n’ont eu d’autre choix que de quitter la Pologne, pour des raisons qui m’apparaissent aujourd’hui aussi désuètes qu’infondées mais qui à l’époque avaient à l‘évidence une certaine importance.
    Mes parents (paix à leur âme) étaient très cultivés et fort francophiles, comme c’était alors le cas de beaucoup de compatriotes, c’est pourquoi avant même que de savoir monter à bicyclette, je parlais votre langue couramment et pouvais déclamer des chapitres entiers de Notre Dame de Paris (entre-autres)… Mais je ne suis pas là pour étaler ma culture.

    Quoi que cultivés, mes parents n‘étaient guère argentés, c’est pourquoi nous ne trouvâmes à nous loger que dans cet endroit, connu aujourd‘hui sous le nom de “rue de la Mazurka”, mais qui à l’époque, dans les années 1930, ne portait encore aucun nom étant donné que l’endroit n‘était guère autre chose qu’un quartier péri-urbain peuplé d’immigrés de toutes origines qui avaient établi là, dans la hâte et l‘anarchie la plus totales, des baraquements “provisoires” faits de briques et de brocs, sortes de cabanons insalubres qui leur servaient d’abri pour la nuit en attendant de trouver une situation et un véritable logis… Inutile de préciser que, à l‘époque, excepté quelques cabanes que leurs propriétaires plus débrouillards que les autres avaient mystérieusement réussi à raccorder illégalement à quelque réseau d’eau sous-terrain, nous n’avions du confort moderne tel que nous le connaissons aujourd‘hui.

    Par chance, mon père avait retrouvé là un ami d’enfance, Polonais comme nous, qui venait d’avoir une promotion (je crois me souvenir qu’il était devenu égoutier municipal) et trouvé à se loger ailleurs. Aussi légua-t-il avec grand plaisir, mais contre une modeste somme (que par ailleurs nous ne possédions pas), sa cabane à mon père… Lequel évidemment s’était engagé à régler sa dette en fonction de ses ressources.
    A moins qu’il ait lui même racheté préalablement son cabanon, l’ami de papa semblait être un gars assez dégourdi car sa cabane, spacieuse et équipée d’un poëlle à bois ainsi que d’une ligne électrique alimentant une ampoule unique, faisait figure de palais comparée aux cabanes voisines.

    Je vous prie de bien vouloir m’excuser mais je suis un peu fatiguée par la concentration que m’a demancé la redzction   de cet lettre. Je vous ferai tenir ultérieuremnt la suitete par l’intermédère de cette bone mdame renéee.

    recevez, madame mes slutaions disringués.

    J. Zubroskaïa

    ***

     

    De : Lenaïg

    A : Madame Jadwiga Zubroskaïa,

    aux bons soins de Madame Renée

     

    Madame,

    Vous nous faites un grand honneur en vous penchant sur la vie des personnages de notre roman jeu multiplume, le 101 Rue de la Mazurka. Aux noms de mes p'tits camarades, je vous encourage à continuer vos mises au point toponymo-historico-géographiques, la première laissant augurer un apport précieux pour la crédibilité de notre entreprise.

     

    Veuillez excuser ce griffonnage hâtif, je vais vous répondre et vous remercier sur une page propre, ultérieurement. Rappelez-vous qu'il s'agit de Miroboland et non pas de la France, mais les deux sont étroitement liés. Ensuite, l'état du Miroboland est imaginaire, ne pas l'oublier. Je crois en effet avoir entendu des échos du passé qui ressemblent fort à ce que vous décrivez.

     

    Il est bon que les Mirobolandais se souviennent que leurs grands-parents étaient uniquement des réfugiés, qu'ils ont galéré dur pour que Miroboland devienne ce pays, cet état fier et farfelu. Dans ma future lettre, je m'emploierai à vous fournir un résumé aussi concis que possible de l'intrigue. Cependant, sachez que des éléments me manquent : notre Om Salma, sortant d'une grippe, nous les apportera, quand elle se sentira mieux.

     

    Bisous cordiaux,

    Lenaïg

     

    PS : je vous joins la réaction de Marie-Louve.

     

    C'est avec un vif intérêt que je découvre ce volet historique, qui nous mène au berceau de ces lieux (Miroboland), sur les pas de ces ancêtres polonais qui ont jeté les premiers jalons, ou talons, sur cette Rue de la Mazurka devenue célèbre depuuis. Nous ne pouvons que remercier Jadwiga Zubroskaïa de sa précieuse contribution. Un ajout culturel qui ne risque pas de décevoir les intellectuels soucieux et avides de connaissances historiques.

     

     

     


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  • Jeu no. 37

     

    Ponctuation!

     

    ***

     

     

    Le Crotoy,  le 08-09-2010

     

     

    Monsieur Charles Atant,

     

    Président de L’Écailler du Galuchat

     

     

    Sur un point d’interrogation, je  ne peux taire mon questionnement quant à la nature de la relation que vous entretenez avec moi.

     

    chiffonnier-blanc-5-tiroirs-18999206Depuis mon entrée à votre service, j’ai dû mettre entre parenthèses tous les bijoux que vous m’avez offerts afin que ma collègue Cécile Ancieux, ne soupçonne en rien le lien qui nous unit. Loin de moi l’idée de mettre un tiret ou un point final sur nos amours malgré la barre oblique qui nous différencie. J’apprécie toujours que vous me taquiniez la virgule. Et même le point virgule comme vous me le susurrez de manière câline à l’oreille. Il me plaît d’être dans vos beaux draps tout en apprenant la comptabilité. J’insiste pour que vous compreniez que le culturel domine mon appétence.  

     

    Cependant, sachez que d’avoir passé mes vacances de Noël entre guillemets afin de ne pas éveiller le courroux de votre épouse, m’a profondément blessée. Pour cette raison, je réclame un alinéa entre vous et votre épouse. Je m’explique : j’exige une séparation en laissant incomplète votre ligne de conduite commencée avec votre épouse et que vous en commenciez une nouvelle avec moi. Je me dois de mettre ces deux points à votre attention sans les exclamations de circonstance. Vous aurez compris que faisant ainsi, je vous protège de madame votre épouse, Wally Gator qui en profiterait pour vous faire mordre la poussière comme me l’a confié sur des points de suspension, Wanda Louzi, votre cousine germaine au moment d’une pause-café.

     

    Votre Irène Dunjour attend une petit Atant. Ce bijou de vous, je ne peux le garder entre parenthèses. 

     

     

    I.D.

    Secrétaire particulière

     

    marionnette-kersa-polichinelle-50100 

     

    Marie-Louve

     

    ***

    Défi n° 37 : Ponctuation !

     

    Consigne proposée par L'île de Lilie

    Postez votre texte pour le

    lundi 6 sept. 8 heures (programmez)

    Communauté Croqueurs de mots

     

     

    ! , ? : () ; . "..."

     

    Prenez-en un, ou deux, ou... tous !

    Parlez d'eux ou faites-les parler.

    En vers, avec ou sans rime, en prose, peu importe

        www.l-iledelie.over-blog.com

     

     

    *** 

     

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  •  

    Pour le défi 37 des Croqueurs - Les trois petits points edited

     

    Il était une fois

    Trois charmants petits points

    En quête d'aventure,

    Qui, sans qu'on ne les voie,

    Quittèrent le jardin

    Du domaine Ecriture ...

     

    Pour le défi 37 des Croqueurs - Ursule la virguleCes trois petits triplés

    Avaient un drôle de nom :

    les Points de Suspension.

    Comme ils se ressemblaient,

    En guise de prénom,

    Un, deux, trois ! disait-on.

     

    Le Point d'Exclamation,

    Leur peintre de papa,

    Plein d'humour et fantasque,

    Tout à sa création,

    Ne s'en aperçut pas,

    S'appliquant à ses masques.

     

    Point d'Interrogation,

    Leur inquiète mama,

    Les voulait à ses basques.

    Avec stupéfaction,

    Vit qu'ils n'étaient plus là.

    Avaient-ils fait des frasques ?

     

    Par les bois par les prés,

    Les trois enfants filaient.

    Pour le défi 37 des Croqueurs - Le tiret affaméLa famille alertée

    Se mit à les chercher,

    Car le pire on craignait :

    Ils étaient en danger.

     

    Là-haut sur les falaises,

    Au lieu-dit Parenthèses,

    Ils risquaient de tomber

    Et d'avoir un malaise,

    Ou de rester coincés

    Entre deux gros rochers.

     

    Ursule la Virgule

    Appela les gendarmes

    Et les soeurs Guillemets

    Sans peur du ridicule

    Pour le défi 37 des Croqueurs - Grand-père Point finalAvec emphase et larmes

    Net et télé squattaient.

     

    Plus de peur que de mal !

    Qui résolut l'affaire ?

    Point Virgule et Deux Points.

    Chez Monsieur Point final,

    Leur auguste grand-père,

    Etaient les trois gamins.

     

    Ils avaient couru loin,

    Evitant le Tiret

    Qui voulait les croquer,

    Parce qu'il avait faim.

    Penauds, tout épuisés,

    Ils restaient à trembler.

     

    On les gronda très fort !

    Mais grand-père était fier

    De ce petit exploit.

    Ils promirent alors

    De ne pas le refaire

    Avant d'avoir le droit.

     

     

    Bonus : chercher l'erreur, ci-dessous :

     

    Pour le défi 37 des Croqueurs - Chercher l'erreur

     

     

    Lenaïg 

     

     

    Défi n° 37 : Ponctuation !

     

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    Prenez-en un, ou deux, ou... tous !

    Parlez d'eux ou faites-les parler.

    En vers, avec ou sans rime, en prose, peu importe

     

     

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    LE 101 RUE DE LA MAZURKA EST UN ROMAN-JEU MULTIPLUME SOUS FORME QUASI EXCLUSIVE DE COURRIELS ECHANGES.

     

    POUR S'INFORMER, ON PEUT ALLER LIRE LES CHAPITRES DEJA ECRITS, DANS LA RUBRIQUE "ROMAN MULTIPLUME (LGDM)" SUR CE BLOG.

     

    MAIS LENAÏG VA TENTER UN RESUME,

    sans filet !

    ***

    Le noyau du roman jeu par emails se situe dans un immeuble dont l'adresse est dans le titre : 101 Rue de la Mazurka (idée de Marie-Louve).

    Le pays -l'état- où se trouve cet immeuble est : le Miroboland (idée de Lenaïg).

    Les citoyens du pays se nomment les Mirobolandais.

    Le Miroboland a une frontière commune avec la France et certaines des administrations ou organisations gouvernementales sont communes.

    Les deux états sont donc intimement liés.

    La ville, la capitale en fait, s'appelle Santa Patata (idée de Di).

    Il est souvent question dans le roman de la Moldénie aussi, pays voisin et ami et de sa capitale, Skarpetta.

    ***

     

    coloriage-chien-labrador-a - jeu.123boutchou.comAu début du roman, Charlotte Destroismaison, fringuante célibataire de 41 ans rêvant du prince charmant, occupe un appartement au 3ème étage du 101 Rue de la Mazurka, en compagnie de son oncle Wilfrid Ohne Toutédantou, puissant homme d'affaires et mécène, un homme sujet aux malaises cardiaques (vrais et stimulés) et son fidèle labrador, Gaspard.

     

    Sur le même palier, un certain Luigi Paper (qu'on soupçonne mafioso -et il l'est !) s'est installé avec sa compagne, Lolita Delrosio, une starlette en devenir.

     

    Juste au-dessus : la coiffeuse à domicile, Jane Hermanie, qui transforme en crinières de lionne les chevelures de toutes les dames du voisinage et recueille leurs petits secrets. Mais celle-ci, aux dernières nouvelles, est en train de faire ses malles pour rejoindre son frère dans une île paradisiaque. L'appartement sera libre bientôt.

     

    Au deuxième : un homme frisant la cinquantaine, Tugdual Kerloch, vient d'emménager. Cet homme s'absente presque toutes les nuits et rentre vers sept heures du matin.

     

     Au premier : une trentenaire, Noëlle Nozvad, dite Nolimit, journaliste à la Gazette de Santa Patata, d'un côté. Dans l'autre appartement du même étage habite une vieille dame, Blanche Tuttiquanti, en compagnie de sa yorkshire Frizapla, brillante surfeuse sur le net autant qu'espionne derrière sa fenêtre.

     

    Au rez-de-chaussée : le lieu de vie ainsi que le cabinet d'un expert-comptable, Paolo Tequila, chez qui l'Oncle Wilfrid a fait engager Charlotte comme assistante. Bien sûr, c'est également la loge et la résidence de la volcanique gardienne Hermina Van Der Prout, qui met un point d'honneur à ce que tout brille et marche droit !

     

    ***

     

     

    Il n'y a pas une intrigue, mais plusieurs, suivant les connexions diverses.

     

    On suit : la vie quotidienne de l'immeuble, les relations entre les occupants, on apprend l'existence de bien d'autres personnages, parents ou relations des principaux personnages selon les emails échangés. On lit les innovantes consultations données, toujours par courriels par un psychiatre, le Docteur Sansouci (surnommé Doc Toctoc) vraiment hors du commun, à certains habitants de l'immeuble, surtout à Paolo Tequila, connu pour sa phobie des souris, ou les messages très directifs de la mère de Charlotte à sa fille.

    Doc Toctoc fait un coming out (on peut qualifier ainsi sa révélation) en déclarant sa flamme à son patient Paolo.

     

    Charlotte et Tugdual sont tombés amoureux et vivent ensemble chez Tugdual. Le mariage devrait se profiler à l'horizon !

     

    Une enquête policière palpipante s'est déroulée au fil des chapitres et vient d'être résolue, mais l'un des coupables s'est évadé : Luigi ! L'auteur Om Salma tient le sort de ce dernier entre ses mains.

    Romain Baladeuse, le cerveau de l'affaire du vol du tableau "La putana gondoliza qui pose nue en jouant du piano" (idée d'Om Salma), homme âgé mais génie informatique, ne devrait pas être trop sanctionné par la justice, n'ayant absolument pas trempé dans les meurtres de policiers et les tentatives d'assassinat.

     

    Au cours de cette enquête, on a fait connaissance du SKUTE (invention de Lenaïg).

    Le SKUTE est devenu très présent, du coup, dans l'intrigue ! 

    SKUTE = Skarpetta & Services Secrets Unifiés de Toute l'Europe (organisation policière).

     

    On sait maintenant que l'Oncle Wilfrid est le patron du yomiko yomiko yorkshire terrier by russ - amazon.comSKUTE pour la section de Miroboland, mais il a décidé de prendre sa retraite et il se peut que Fred Louarn, ami de Tugdual Kerloch le remplace à la tête du service.

    L'Oncle Wilfrid est un personnage dont la part d'ombre est très importante.

    Tout en étant patron efficace du SKUTE, il mène des activités parallèles nébuleuses, dont Mona seule connaît les secrets (ou pas ... C'est-à-dire qu'elle a l'exclusivité du personnage et interviendra si elle en a le temps et l'inspiration).

    Lolita Delrosio et sa jumelle Laurie sont toutes deux agents du SKUTE.

    Tugdual Kerloch, Français breton, d'abord garde du corps du Moldénien Anton de la Vega, vient de rejoindre les rangs du SKUTE mirobolandais.

     

    Alors, peut-on lancer le SKUTE sur une nouvelle enquête ? Mais oui !

     

    *** 

     

    Il RESTE DEUX APPARTEMENTS LIBRES DANS L'IMMEUBLE POUR DE NOUVEAUX OCCUPANTS, DE NOUVELLES FAMILLES (AU 2E,  MÊME PALIER QUE TUGDUAL ET CHARLOTTE ET AU 4E, LA OU RESIDE JANE HERMANIE).

    COMME JANE S'EN VA INCESSAMMENT SOUS PEU, UN TROISIEME APPARTEMENT

    PEUT ÊTRE DEJA CONSIDERE VACANT ! 

     

     

    LES ECHANGES D'EMAILS DOIVENT SE PRESENTER COMME DES VRAIS !

    REMARQUE : IL VAUT MIEUX LAISSER UN ESPACE AVANT ET APRES L'AROBASE, POUR QUE L'INFORMATIQUE DU BLOG NE CONSIDERE PAS LES ADRESSES COMME VRAIES, EN REVANCHE !

     

    EN PRINCIPE, IL FAUT S'EN TENIR A DEUX EMAILS, TENANT SUR UNE PAGE PAS TROP LONGUE, POUR NE PAS LASSER.

    (C'est ce que nous avons fait, mais sur ce blog, tout a été regroupé).

     

    EXEMPLE :

      

    Marie-Louve, dans le chapitre 31, a écrit deux emails sur une page, l'un de Charlotte adressé à sa mère, l'autre à Lumina, son amie.

    Il n'est pas nécessaire que les deux emails de la page se répondent. Les réponses peuvent intervenir ultérieurement.

     

    De : charlotte.des3maison @ hotmail.fr
    Envoyé : 06  octobre 2009    16 :45 : 28

     A : juliette.des3maison @ hotmail.fr 

    Bonjour maman, ...
    ***

    De : charlotte.des3maison @ hotmail.fr
    2009-10-06  //// 19 :45
    A : lumina40 @ hotmail.com
     

    Où es-tu Lulu ? Je téléphone chez toi et pas de réponse. Tu as oublié de mettre ton répondeur en fonction ? C’est urgent ! ...

     

     

     

    Pour les adresses email, on peut donner libre cours à sa fantaisie :

     

    t.kerloch @ hotdog.com

    berangere.labornez @ pamplemousse.fr

    hdalors @ ouksai.fr 

    fred.louarn @ houhou.mi,

    etc.

    *** 

     

    Dans la rubrique "Roman multiplume (Lgdm)", un chapitre 32 n'a pas encore été posté, où il est question de données historiques concernant les Mirobolandais ... Cela ne saurait tarder.

     

     

     

     

     


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  •  Nuit à Brest (Cours d'Ajot) 

      

    Lune au matin, Sacré Coeur dans le coin

     

    Le petit vent s'est tu, m'a-t-il abandonné ?

    Voilà, je ne dors plus,je suis à ruminer.

    Quelle déconvenue, quelle vide pensée !

    Pas de bruit dans la rue, il faut en profiter.

    Figée comme statue, je me mets à fumer.

    Mais qu'avais-je donc cru ? je suis bien épuisée.

    Que des esprits pointus je pouvais affronter,

    Je n'ai pas assez lu, le mien est limité.

    Ailleurs, c'est l'inconnu ! Feuilles, mais oui, bruissez !

    Le vent m'a entendue, s'est remis à souffler.

    Comme je suis têtue, j'ai repris mon cahier.

    Reste un espoir ténu ; fenêtre refermée.

     

                                                                                     

    Fenêtre et bambousEcrire est un plaisir, une nécessité.

    Sans cesse rebondir, voguer sur des idées.

    Sublimer l'avenir, explorer le passé,

    Et je peux repartir, la douceur fait effet.

    Mais saurai-je tenir, rien que pour m'amuser,

    Ce rythme, ce délire et ainsi me bercer.

    Je recommence à rire, je vais y arriver.

    Cinq lignes à produire... poème terminé !

    Contre les durs à cuire simplement résister.

    Pas d'armes à fourbir, mon ciel est dégagé.

    Il reste à repartir, légère et d'un bon pied !

    A personne ne nuire, garder ma liberté.

     

     

     

     

    Voilà, c'est fini !

    (comme chante Jean-Louis Aubert,

    mais pas sur le même sujet ...).

    Un chant, une berceuse, une incantation ?

    Ecrit en septembre 2009.                                              

    Revu et modifié en septembre 2010.

     

    Lenaïg

     

    • En haut : nuit d'hiver à Brest (Cours d'Ajot). 
    • Lune au matin, Sacré Coeur dans le coin ...
    • Fenêtre et bambous.

      

     

     


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