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Océan en furie - Mona - Haïkus pour Neige et tempête
Et le fou s' avance
inconscient, ravi
Les rochers vibrent
***Ivre de vie
Il va la perdre.
***Pauvre corps fracassé,
entraîné, englouti
Anaon à jamais ...
***Mona
(la photo vient d'une vidéo de la presqu'île de Quiberon pour alerter les imprudents. )
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Commentaires
2elianeDimanche 12 Février 2017 à 12:50je suis venue sur les aminautes de Lenaig !
c'est très réaliste ! les intempéries sont trop souvent tragiques !
bises à toi Mona
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MonaLundi 13 Février 2017 à 10:09
c'est vrai.Beaucoup sont très imprudents. Les réactions des Bretons à cette vidéo étaient très sévères. Un sauveteur en mer disait que ces inconscient mettaient en péril leurs vies aussi.
la plus drôle était: " Si c'est un Breton, il est sûrement torché, donc pas conscient ou alors c'est un touriste!" Pas si simple. Devant la beauté des éléments plusieurs s'avancent, fascinés, comme sous un charme, et bien des Bretons le font.
merci de m' avoir lue!
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MonaLundi 13 Février 2017 à 10:10
Pas conscients, pardon
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Bien reçu la news Lenaïg, sur ce oui en effet à trop vouloir "toucher" la tempête de près, c'est elle qui vous touchera à mort, alors à bon entendeur.... bises, jill
bien Mona- oui du danger pour les curieux qui en perdent la vie -
je n'y avais pas pensé-
bonne journée- amitiés--
MonaLundi 13 Février 2017 à 10:11
Merci Lady! Je n'y ai pensé que grâce à cette vidéo!
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5JosetteDimanche 12 Février 2017 à 14:08tu dois aussi connaître la plaque souvenir à Saint Guénolé rappelant à la prudence...
très belle interprétation Mona bon dimanche
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MonaLundi 13 Février 2017 à 10:19
Merci Josette. Oh oui, le connais bien la roche du préfet! C'est à St Guénolé que je préfère aller en cas de vraie tempête, mais en restant derrière la digue. Enfant, j'entendais ce fait divers transformé en conte. "Et alors qu'il faisait beau et que toute la famille pique_niquait, une vague de fond que personne ne pouvait voir ni prévoir les a tous emportés, ne laissant sur le rocher qu'une fourchette"Cet histoire de fourchette me fascinait et me troublait. En réalité, en 1870, le préfet (Impérial) a perdu son épouse, sa fille, un neveu, une nièce et un ami. C'est déjà beaucoup!
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Superbe, Mona ! J'espère que la page va s'annoncer dans les boîtes de courriel, pour le moment je ne la vois pas dans la mienne et ne sais pas pourquoi. Bises.