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Nouveau jeu : qui était-il ? Que faisait-il ? Où allait-il ?
Coucou, les amis ! C'est reparti pour un p'tit jeu du tac au tac, comme dirait Plume, sans se prendre la tête ?
Sur le même principe que le jeu des TOUT et des RIEN, du mois de juillet, on enchaîne les uns après les autres, chacun ajoute un bout d'histoire et nous verrons bien où cela nous mènera !
Phrase, toute simple de départ :
L'homme marchait.
Allez, on le fait vivre, cet homme, pour l'instant mystérieux ?
On peut se contenter d'ajouter un seul mot, où plus, chacun fait comme il veut, le but étant que le tout raconte une histoire.
On peut terminer une phrase et en commencer une autre, en mode commentaire.
A bientôt, j'espère et gros bisous !
Lenaïg
Illustrations :
- Michel Guino - L'homme Qui Marche Ou Machin-chose. Original 1973, www.arcadja.com
- “L’homme qui marche” de Alberto Giacometti
Sculpture vendue le 3 février 2010 chez Sotheby’s Londres (Ang)
79,5 millions d’euros.
Le Panthéon « L'atelier de Freedo, www.atelierdefreedo.wordpress.com
Et on peut écouter et regarder la vidéo suivante :
http://www.youtube.com/watch?v=pD9_-tT83qg
C'est L'homme au bouquet de fleurs, par Maxime Leforestier, je ne sais pas encore comment la faire apparaître ici, mais ça viendra ...
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Commentaires
Le petit homme marchait le nez au vent et tout à coup il disparut.
Chouette, ah ah, le jeu démarre, merci beaucoup Josette. Bizzz !
Le petit homme marchait le nez au vent et tout à coup il disparut en tournant le coin de la rue.
Le petit homme marchait le nez au vent et tout à coup il disparut en tournant le coin de la rue. Mystérieux à souhait je me décidais à le suivre...
Le petit homme marchait le nez au vent et tout à coup il disparut en tournant le coin de la rue. Il avait vu d'un regard en coin son vieil ami.. à qui il devait rembourser l'argent prêté depuis longtemps
Le petit homme marchait le nez au vent et tout à coup il disparut en tournant le coin de la rue. Mais j'arrivais, à quelques pas derrière, et, une fois tourné le coin de la rue, plus de trace, il avait vraiment disparu.
Coucou Di, ravie de te voir ici aussi, bizzz.
Le petit homme marchait, courbé, le nez au vent et tout à coup, il disparut en tournant le coin de la rue. Mais j'arrivais, à quelque pas derrière, et; une une fois tourné le coin de la rue, plus de trace, il avait vraiment disparu dans le brouillard d'automne.
Salut Jill, Jeanne, Aganticus ! Hé hé, ça fuse, et ça part dans tous les sens, mais c'est très bien comme ça ! Il peut y avoir une grande histoire, plein de p'tites histoires particulières, on prend tout !
Comme lorsqu'on intervient, on ne voit pas forcément tout ce que les autres ont écrit, il va y avoir des télescopages, ou des chassés-croisés aveugles, mais ce sera encore plus marrant !
Moi je vais essayer de tout reprendre dans la même et continuer un peu, mais chacun fait ce qu'il veut, de ce petit homme !
Le petit homme marchait, courbé, le nez au vent et tout à coup, il disparut en tournant le coin de la rue. Mais j'arrivais, à quelque pas derrière, et; une une fois tourné le coin de la rue, plus de trace, il avait vraiment disparu dans le brouillard d'automne. Mais, au milieu de la rue, une porte !
C'est le hic Lenaïg.... Dans tous les sens... pas facile dès lors à reprendre.... Bises de jill
Mais au milieu de la rue, une porte, qu'une bourrasque non prévue par les météorologues, s'empressa d'ouvrir
Magnifique ! Merci Josette, Di, Jill, Jeanne, Aganticus, Martine ! Ben tant pis, Jill et Aganticus, si finalement tout ne se suit pas, moi cela ne me gêne pas du tout.
Ce petit homme (tel que défini par Josette qui a lancé le jeu), il est en train de vivre toutes sortes d'aventures, il est en plusieurs endroits à la fois, il disparaît dans le brouillard d'automne par ici, il trouve une porte au milieu de la rue par là, il est emporté par une bourrasque imprévue par là-bas. Extraordinaire !
Et Josette par le choix de son emoticone nous l'a par ailleurs fait disparaître dans une bouche d'égout !
Dommage que je ne puisse pas rester. A ce soir, mais que ceux qui peuvent continuent ! Et on attend les autres avec impatience !
Oh, et dans la confidence du lancement de ce jeu, il y a Monelle, également ! Et tous ceux qui viendraient à passer, bien sûr, s'ils ont trouvé le chemin.
Le petit homme marchait, courbé, le nez au vent et tout à coup, il disparut en tournant le coin de la rue. Mais j'arrivais, à quelque pas derrière, et; une une fois tourné le coin de la rue, plus de trace, il avait vraiment disparu dans le brouillard d'automne. Mais, au milieu de la rue, une porte qu'une bourrasque non prévue par les météorologues, s'empressa d'ouvrir. Et dans l'entrebaillement de cette porte : du brouillard
venant d'un trou d'homme
(Impossible de copier-coller. Mon navigateur ne le supporte pas. Suggère de prendre les touches de racourcis mais je ne les connais pas.
Le petit homme marchait, courbé, le nez au vent et tout à coup, il disparut en tournant le coin de la rue. Mystérieux à souhait je me décidais à le suivre... Mais j'arrivais, à quelque pas derrière et, une une fois tourné le coin de la rue, plus de trace, il avait vraiment disparu dans le brouillard d'automne.
Il avait vu d'un regard en coin son vieil ami.. à qui il devait rembourser l'argent prêté depuis longtemps.
Mais, au milieu de la rue, une porte qu'une bourrasque non prévue par les météorologues, s'empressa d'ouvrir. Et dans l'entrebaillement de cette porte : du brouillard ...
Le petit homme marchait, courbé, le nez au vent et tout à coup, il disparut en tournant le coin de la rue. Mais j'arrivais, à quelque pas derrière, et; une une fois tourné le coin de la rue, plus de trace, il avait vraiment disparu dans le brouillard d'automne. Mais, au milieu de la rue, une porte qu'une bourrasque non prévue par les météorologues, s'empressa d'ouvrir. Et dans l'entrebaillement de cette porte : du brouillard, et la lumière blafarde d'une lanterne fatiguée suspendue à un arbre aux branches entrelacées .
Plume
Le petit homme marchait, courbé, le nez au vent et tout à coup, il disparut en tournant le coin de la rue. Mystérieux à souhait je me décidais à le suivre... Mais j'arrivais, à quelque pas derrière et, une une fois tourné le coin de la rue, plus de trace, il avait vraiment disparu dans le brouillard d'automne.
Il avait vu d'un regard en coin son vieil ami.. à qui il devait rembourser l'argent prêté depuis longtemps.
Mais, au milieu de la rue, une porte qu'une bourrasque non prévue par les météorologues, s'empressa d'ouvrir. Et dans l'entrebaillement de cette porte : du brouillard, venant d'un trou d'homme, et la lumière blafarde d'une lanterne fatiguée suspendue à un arbre aux branches entrelacées .
Salut, Plume ! Et coucou, Di, pas de souci, mets tes idées, je les recopierai. A plus tard !
Pour DI : Pour copier surligner le texte et ensuite en même temps appuyer sur les touches Ctrl C et pour coller Ctrl V
Juste, pour ceux qui se lancent dans la grande histoire, n'oublions pas la raison qui lui donne envie de disparaître, à ce petit homme, elle nous a été révélée par M'amzelle Jeanne.
Hé hé, le coquin !
Furieusement taraudé par l'envie de passer de l'autre côté, moi aussi, je glissai un pied dans l'entrebaillement de la porte avant qu'elle se referme.
Il était bien heureux ce petit homme de pouvoir jouer des courant d'air.. passer passer inaperçu.. Il s'engouffra dans l'allée du cimetière.. et derrière le Christ rouillé tendit les bras
Le petit homme marchait, courbé, le nez au vent et tout à coup, il disparut en tournant le coin de la rue. Mystérieux à souhait je me décidais à le suivre... Mais j'arrivais, à quelque pas derrière et, une une fois tourné le coin de la rue, plus de trace, il avait vraiment disparu dans le brouillard d'automne.
Il avait vu d'un regard en coin son vieil ami.. à qui il devait rembourser l'argent prêté depuis longtemps.
Mais, au milieu de la rue, une porte qu'une bourrasque non prévue par les météorologues, s'empressa d'ouvrir. Et dans l'entrebaillement de cette porte : du brouillard, venant d'un trou d'homme, et la lumière blafarde d'une lanterne fatiguée suspendue à un arbre aux branches entrelacées, un cimetière méconnu.... Un calvaire avec son Christ rouillé et des bruits étranges...
Furieusement taraudé par l'envie de passer de l'autre côté, moi aussi, je glissai un pied dans l'entrebaillement de la porte avant qu'elle se referme. Ma curiosité allait-elle être bien ou mal récompensée ?
Il était bien heureux ce petit homme de pouvoir jouer des courant d'air.. passer passer inaperçu.. Il s'engouffra dans l'allée du cimetière.. et derrière le Christ rouillé tendit les bras.
***
Lenaïg, Aganticus, Josette, Di, Jill, Jeanne, Martine, Plume !
A suivre !
Pendant ce temps, un groupe de gens habillés en noir s'avança vers le calvaire; ils venaient certainement d'assister à un enterrement mais bizarrement, tous souriaient...
L'un d'eux donna un énorme pourboire au fossoyeur en lui recommandant de descendre le mort le plus creux possible ...
(Merci Martine pour le truc du copier-coller.)
30josette bisMardi 2 Octobre 2012 à 17:5233josette bisMardi 2 Octobre 2012 à 18:14Le vieux créancier avait été rattrapé par le diable en personne,
..... le petit homme lui ayant donné son âme
36josette bisMardi 2 Octobre 2012 à 19:10! Quel est le problème ? Ré^ponds-moi voix de gros cave, Bien sûr, c'était la voix du diable et de son veau vert
Le problème.... c'est toi petit homme ! Maintenant que tu as vu comment te laisser repartir....
Dans un vacarme épouvantable un rire a résonner très fort dans le cimetière faisant tomber le reste du Christ rouillé.. dans une pirouette marchant sur la tête pour ne pas être reconnu, le petit homme est reparti dans le sens inverse !
40mamazertyMardi 2 Octobre 2012 à 22:08Le petit homme marchait, courbé, le nez au vent et tout à coup, il disparut en tournant le coin de la rue. Mystérieux à souhait je me décidais à le suivre... Mais j'arrivais, à quelque pas derrière et, une une fois tourné le coin de la rue, plus de trace, il avait vraiment disparu dans le brouillard d'automne.
Il avait vu d'un regard en coin son vieil ami.. à qui il devait rembourser l'argent prêté depuis longtemps.
Mais, au milieu de la rue, une porte qu'une bourrasque non prévue par les météorologues, s'empressa d'ouvrir. Et dans l'entrebaillement de cette porte : du brouillard, venant d'un trou d'homme, et la lumière blafarde d'une lanterne fatiguée suspendue à un arbre aux branches entrelacées, un cimetière méconnu.... Un calvaire avec son Christ rouillé et des bruits étranges...
Furieusement taraudé par l'envie de passer de l'autre côté, moi aussi, je glissai un pied dans l'entrebaillement de la porte avant qu'elle se referme. Ma curiosité allait-elle être bien ou mal récompensée ?
Il était bien heureux ce petit homme de pouvoir jouer des courant d'air.. passer passer inaperçu.. Il s'engouffra dans l'allée du cimetière.. et derrière le Christ rouillé tendit les bras. "Viens à moi" lui dit-il ! "N'aie pas peur, viens, viens.... " Mes dents jouèrent des castagnettes !
Pendant ce temps, un groupe de gens habillés en noir s'avança vers le calvaire; ils venaient certainement d'assister à un enterrement mais bizarrement, tous souriaient... L'un d'eux donna un énorme pourboire au fossoyeur en lui recommandant de descendre le mort le plus creux possible ... le petit homme apeuré se cacha et suivit le fossoyeur du regard, qui regardait tomber l'un des bras du Christ rouillé ... Cela fit un gros vacarme ... qui fit fuir les corbeaux.
Le vieux créancier avait été rattrapé par le diable en personne, ..... le petit homme lui ayant donné son âme. Alors une grosse voix caverneuse venant d'on ne sait-où pronoça ces mots terribles : "toi tu n'est pas d'ici !".
"Quel est le problème ? Réponds-moi, voix de gros cave !" Bien sûr, c'était la voix du diable et de son veau vert. "Le problème.... c'est toi petit homme ! Maintenant que tu as vu, comment te laisser repartir.... "
Dans un vacarme épouvantable un rire a résonné très fort dans le cimetière, faisant tomber le reste du Christ rouillé.. dans une pirouette marchant sur la tête pour ne pas être reconnu, le petit homme est reparti dans le sens inverse !
Mais il buta sur un caillou et s'étala de tout son long. Son dentier roula dans une tombe ouverte......
***
Lenaïg, Aganticus, Josette, Di, Jill, Jeanne, Martine, Plume, Marie Louve, Mamazerty !
C'est à cet instant précis que je compris la situation : le calvaire tout rouillé faisait partie d'un des sept sceaux qui guidaient la quête de la "grande victoire"; cette appellation cabalistique regroupait les tentatives d'extermination de l'antéchrist, et le petit homme devait certainement être Satan en personne, ou un des ses proches sbires, qui fuyaitt les cavaliers de l'Apocalypse...
La vraie question à se poser était pourquoi Satan était poursuivi par le cavalier qui montait un cheval de couleur pâle ? La mort n'était plus son alliée ?
Je n'avais pas le temps de me demander d'où me venait toutes ces révélations et pourquoi cette question s'imposait à moi ... Il fallait agir, et vite ! Mais pauvre de moi, simple badaud curieux, je ne savais pas quoi faire ! C'est alors qu'une voix (encore une !) retentit dans ma tête : "Je suis l'Archange St Michel, celui qui n'est jamais descendu sur terre, j'aurais bien voulu venir y faire un tour, comme mes confrères, mais ce n'était pas mon rôle. Tu vas agir à ma place, je te confère tous mes pouvoirs ! Pas besoin de sabre laser, ni de toute cette quincaillerie, le VERBE sera ton arme ! Satan est en état de faiblesse, mais ses cavaliers ne le sont pas ! Contre eux, voici les mots sacrés que tu devras prononcer : "
47josette bisMardi 2 Octobre 2012 à 23:30un vent terrible se leva et le bruit des feuilles dans la bourasque m'empècha d'entendre les mots...
Le cavalier, le voici ! Josette l'a pris en photo ! Mais je suis perdue : est-ce le petit homme qui se retrouve sur un cheval aussi, ou un des cavaliers de l'apocalypse ?
Il se tourna vers moi et une main froide me serra le ventre : c'était bien le cavalier blanc détenteur de la mission de la mort...
Il faisait bien partie des quatre cavaliers de l'Apolcalypse et c'était pas le meilleur...
Alors, fatigué par une folle journée, je décidais d'aller me coucher et je dis bonsoir aux personnes qui étaient encore dans le cimetière...
Ma politesse surprit tout le monde, le cavalier pâle se figea, j'en profitais pour m'échapper, retrouver mon lit douillet et me jeter dans les bras de Morphée. St Michel était plus malin que moi, il assurerait d'une façon ou d'une autre, moi je devais recharger mes batteries. Que se passerait-il dans ce cimetière en mon absence ? Je le saurais le lendemain, si je retrouvais le chemin.
À ton départ, il règnait un silence de mort. Il n'y avait plus que moi prise avec ce cavalier blanc et ce petit bonhomme que je ne voyais plus dans le noir.
Que c'est-il vraiment passé dans ce cimetière la nuit dernière.. Ce matin fraîche et dispose, je ne vois plus rien.. aucune trace, le christ rouillé est toujours là.. debout.. La bataille a certainement fait rage .. les restes ne sont même pas fumants
58Josette bisMercredi 3 Octobre 2012 à 11:15J'en appelle à tous les chaperons rouges et mères-grands pour les ramener à la cour de récré...
Je passe en coup de vent et je suis rassurée : l'ordre semble régner, le p'tit homme était-il vraiment Satan, ou pas ? Ou alors il était possédé par Satan, j'espère que celui-ci l'a quitté ! Des chaperons rouges et des mères-grands dynamiques font rentrer les loups dans les rangs !
Bizzz à tous, à plus tard ce soir !
Je n'arrive pas a les compter .. il m'en manque .. ou est-il passé ? Alerte.. ne fermez pas les portes
62josette bisMercredi 3 Octobre 2012 à 13:36Ce sont les enfants que je n'arrive pas à compter.. Et puis j'ai lu une feuille quelque part
un loup serait amoureux d'une brebis..... ?
ils doivent être redevenus moins ou plus civilisés depuis qu'ils mangent des OGM
Coucou Josette et Jeanne ! Hou la la, j'ai vu passer tellement de moutons dans ma journée que j'ai une furieuse envie de dormir, je lutte car il est trop tôt et j'ai plein de Wolf à voir, qui ne sont sûrement pas tous des loups !
Bien agréable de vous rejoindre ici, c'était amusant ce jeu en petit comité secret, pour initiés, hé hé et grand merci à tous pour l'histoire qui fut extraordinaire
D'ailleurs, rien n'empêche qu'elle continue ! Si quelqu'un parmi vous a des nouvelles fraiches, je prends !
A plus tard chez vous, ici ou là-bas, gros bisous.
Une ligne de coeur qui craque pour un loup ! S'attendait pas à ça, celui-là. C'est ainsi que le diable était aux vaches comme on dit chez nous quand tout part en fumée. Bisous.
66josette bisMercredi 3 Octobre 2012 à 19:49un méchant diable, un petit homme, des cavaliers, des vaches, des moutons et des loups... où cela nous mènera ???
Ton commentaire me rappelle l'émission sur la finance internationale que je viens de revoir par ARTE dont le titre est: "le bal des vautours"... étonnant, non ?
Bonsoir tout le monde,
j'arrive et je découvre tout ce qui est arrivé dans cette rue, puis le cimetierre ... Quelle histoire !!
Alors, où en êtes-vous maintenant ?Entre les cavaliers, les loups et les moutons je m'y perds .Bises , je vais aller dormir (j'en ai besoins après cette expédition ) mais pas sans bravo aux participantes
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Le petit homme marchait le nez au vent...