• UNE BELLE HISTOIRE D’AMOUR



    Ici la compagne est blessée et sa condition est fatale :
    Elle a été touchée par une voiture alors qu'elle volait bas.


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    Il lui apporte à manger avec amour et compassion.

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    En lui ramenant de la nourriture, il est choqué de la trouver morte.
    Il essaye de la bouger ... sans succès !


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    Réalisant que son amour est morte et ne reviendra pas,
    il la pleure avec tristesse et adoration …

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    Il pleure à ses côtés, atterré par sa mort. Finalement, conscient qu'elle ne lui reviendra pas, il reste à côté de son corps inerte, avec tristesse et chagrin.

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    Des millions de gens ont été touchés en voyant ces photos, en Europe et en Amérique,
    ainsi qu'en Inde et en Asie.
    Le photographe qui a pris ces clichés les a vendus au plus grand quotidien français.
    Tous les exemplaires de cette édition furent vendus le jour de sa publication......
    Et beaucoup de gens pensent que les animaux n'ont ni cerveau ni sentiments ??
    Vous venez de voir Amour
    et chagrin …


    Document (texte et photos) : AbuNawaf.com.

    Note de Lenaïg :
    Margoton, merci beaucoup pour ce document émouvant.

    J''ai conservé le document que tu viens de me proposer pour le blog dans son intégralité.
    Pour l'insérer dans le blog, ne sachant pas très bien me débrouiller, j'ai dû transporter les photos une à une et redonner au texte à peu près l'apparence qu'il avait dans le document qui circule sur le net !

    Pour ma part, j'aurais mis un minimum de texte, les photos parlant d'elles-mêmes.


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  • UN SONNET TRANSFORME EN SORNETTES :

    GRAND-MERE ET L'INFORMATIQUE

    *** 


    Docteur , venez voir si l’arthrose

    Qui, ce jourd’hui, a bien desclose

    Et, en dépit de vos bons soins,

    Me laisse, hélas, plus mal en point.

     

    Il m’est pénible de m’asseoir :

    Le fémur grince en son butoir

    (Que l’on nomme une capsule,

    Fonctionnant comme une rotule)

    Pour me lever de mon fauteuil

    Je souhaiterais avoir un treuil.

     

    Moi qui fis tant de bicyclette,

    Les avaries de mon squelette

    Et mon genou tout en titane

    Actionneraient mal ma bécane.

     

    Moi qui aimais tant la montagne :

    Y renoncer est pis que l’bagne.

     

    Mais faut savoir rester stoïque :

    Avec bonheur l’informatique

    Vint au secours de mon marasme,

    L’érigeant en enthousiasme

    Pour mon besoin de m’exprimer

    Et très souvent de rigoler.

     

    Mais vient l’heure où mon métacarpe

    Réclame ma main en écharpe,

    Jusqu’à l’épaule, comm ‘ il se doit.

     

    Or, ne taper qu’à demi-doigts,

    Y a quand même plus pratique

    Au mitan d’un texte tonique.
    C’est pas la pein’ que je m’escrime :

    Je sais qu’une nuit me ranime.

     

    C’est pour cela que bien souvent

    Mes contes sont sciés  brusquement.

    Mais le lendemain tout va bien :

    Stylo ou clavier bien en mains,

    Je m’remets à lécher mon art….

    Survient alors un bon catarrhe !

     

    Cueillez, cueillez votre jeunesse,

    Le grand âge arriv’ par express.

    Les résidus de nos neurones

    Valent bien qu’on les aiguillonne :

    Entendez-moi bien, mignonnes !

     

    P.S. 1 –

    Ne me prenez point trop au mot :

    J’ai un peu amplifié mes maux,

    Mais ne les ai pas tous décrits :

    Voir un Service de Gériâtrie.

     

    P.S. 2 –

    Inutile de vous extasier : je connais parfaitement les défauts de ces vers misérables et 
    «  bons à mettre au cabinet » - et saurai parfaitement en faire la critique moi-même !

     

    C'est du réchauffé, mais qui amusera peut-être.

    Auteur : Margoton. 


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  • CHARABIA


    Sous la charmille qui surchargeait un peu la charpente de la charmante chartreuse reconvertie en hôpital de la Charité, Sœur Charline déchargeait le chariot surchargé par la charpie et la charogne qu'en avaient chargé les charmantes infirmières chargées de soigner, en les charcutant un peu, le clochards malades de l'épidémie de charbon, en descendant, par le monte-charge, ce charnier à la décharge.

    Dans le parc, assis sur un vieux char à bancs , qu'un soir de charivari deux bambochards (un ancien charbonnier et un charcutier) avaient charrié jusque là, Charlemagne et Charlot, deux pochards, un bras en écharpe mais l'autre chargé d'un sac contenant une bouteille de chardonnay, d'un bifteck froid bien charnu de charolais, d'une boîte de pilchard ,d'un reste de charlotte et de quelques cerises charnues, se disputaient déjà, avec acharnement, en se comportant en mouchards :
    Charlemagne, pleurnichard, accusant l'autre d'être vachard. Charlot, en vrai cabochard, ripostait qu'en plus d'être un mouchard, l'autre lui avait chargé ses charentaises de chardons, et tout charpillé (*) son plus beau falzar.

    Un vrai charivari allait éclater : ils allaient s'écharper, en bons revanchards qu'ils étaient, en se traitant de charençons. Charlot en était même à sortir son écharnoir lorsque Sœur Charline, malgré sa surcharge de travail mais poussée par son charisme, s 'acharna à décharger leurs âmes de ces sentiments revanchards en les chargeant de recharger le chariot pour le pousser ensemble vers la décharge – à charge pour elle de leur offrir une p'tite Chartreuse.

    - Ah ben, si vous nous faites du charme…. On va l'faire, votre charroi !
    - Ouais, on n'est pas cabochards à ce point !
    -C'est pas qu'ça nous charme, mais on vous fait ça par charité…
    - Et pis pour la Chartreuse, surtout …
    - Allez ! avance, charogne, que j'suis tout seul à m'acharner su' c'chariot
    - Vrai, j'vas l'dire à Sœur Charline qu'tu m'as traité d'charogne !
    - Sale mouchard, va !
    - Et toi, charançon charbonneux !
    - Allez, pousse la charrette, sinon on n'aura pas d'Chartreuse !

    Et en avant pour la décharge.

    (*) charpiller : mot lyonnais : mettre en lambeaux. En charpie, quoi.


    :A VOUS, MAINTENANT !

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  • PROPOSITION DE JEU : syllabe récurrente : CHAR
    Margoton
    Ecrire un texte, un poème, ou un récit farfelu, composé d'un maximum de mots comportant la syllabe CHAR.
    A vos plumes, vos méninges et vos claviers !




    Merci Margoton !
    Je vais m'y mettre.
    Soit les participants postent leurs textes en commentaires ici, soit ils m'envoient leurs textes par email et je les publie sur des pages séparées.




    Je ne suis pas encore habituée à tous les rouages du blog ! Tu m'as prévenue par email, Margoton, Over-blog vient aussi de m'envoyer ta proposition par email, en m'avertissant que je la trouverai aussi "au bas de la page de mon blog".
    (Hi hi, je ne sais pas où la trouver ici ...)



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