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Souvenons-nous, l'an dernier, pendant la pause de jill bill, nous nous sommes déjà amusés au jeu des acrostiches chaque mercredi. Nous avions ceci comme logo, à placer si l'on voulait en tête de nos pages :
Cette année, je nous propose ce nouveau logo :
Nous pourrons ainsi nous rallier au panache de ce Chat botté ! En cliquant dessus, on peut isoler l'image et la copier. Mais c'est une option, pas une obligation.
Donc : un simple acrostiche ne forme qu'un seul mot vertical, à gauche, un double acrostiche forme un deuxième mot vertical, à droite. Libre aux participants de jouer à leur guise et de créer leurs combinaisons.
Au plaisir de vous lire, les zamis !
Lenaïg
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En attendant le retour de jill bill et sa Cour de récré en septembre, tout en souhaitant à Fab' Jill un bon repos, Eliane, Victoria et moi allons reprendre le jeu des acrostiches à poster chaque mercredi.
Pour plus amples infos si l'on est intéressé, nous rejoindre sur Overblog : clic !
A paraître cet après-midi, une passionnante fable de Victoria, à découvrir aussi sur Overblog : clic !
Bon dimanche et gros zibous, les zamis !
Lenaïg
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Le dernier prénom de la liste ! Jill est en repos jusqu'au mois de septembre. Un prénom qui révèle l'étonnante légende d'une jeune martyre chrétienne, que son père voulait marier en dépit de son voeu de chasteté et sur le menton de laquelle Dieu fit pousser de la barbe, ce qui découragea le prétendant. Seulement elle fut ensuite brûlée pour sorcellerie. Prénom ancien qui souligne combien être transgenre a été un long calvaire avant d'être reconnu et actuellement défendu. Eliane et Victoria ont décliné le prénom en acrostiches, retrouvons-les sur Overblog :
Cette page d'annonce, elle, paraîtra sur les messageries des abonnés alors que rien de ce qui est posté sur Overblog n'est communiqué, un problème qui n'a que trop duré, à décourager d'écrire, pas de Wilgeforte de ma part, sauf ce billet. Et Jill dans sa participation programmée a déjà révélé un prénom pour la rentrée : Bosco !
Lenaïg
http://jill-bill.eklablog.com/wilgeforte-la-faible-a159126238
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Horreur ! 20 h 45 ce dimanche soir, Lenaïg n'a pas écrit une seule ligne pour le défi de Hauteclaire Laura, tout en ayant cogité çà et là depuis qu'elle a pris connaissance du sujet ... Pourquoi cette première phrase en italique ? Parce que Lenaïg a déjà écrit sur le cinéma lors du défi des Crôqueurs n° 94 initié par Hauteclaire : Silence, on tourne ! (affreux comme le temps a vite passé !) et que les films cités dans ses élucubrations de l'époque, elle les a bien vus dans une salle de cinéma et non pas en DVD ou à la télé, ces films l'ont marquée, alors nous sommes dans le cadre défini par Laura.
Est-ce l'ombre d'Alain Delon qui fait parler Lenaïg à la troisième personne du singulier ? Cela s'est imposé, on dirait ! Pourtant Lenaïg a toujours préféré Belmondo ! Alors, je (!) me suis demandé quels films m'avaient laissée sur ma faim. Il y a bien Habemus papam, ce film existentiel et drôle, où le Pape abdique et laisse tout le monde dans l'embarras, mais non, la barre est trop haute pour moi ... J'aurais bien essayé de trouver un subterfuge pour faire renaître Le mari de la coiffeuse si tragiquement drôle de Patrice Leconte et lui redonner la joie de vivre mais ce serait "flinguer" l'esprit de l'oeuvre du cinéaste et un affront à la performance de Jean Rochefort ... Oh, puis j'aurais aimé que le dialogue entre le Ghost Patrick Swayze et sa veuve Demi Moore se poursuive, mais tout le monde sait que les fantômes s'effacent de la surface de la Terre dès que ce qui les y rattache disparaît et qu'ils trouvent la paix ... Et elle a pensé à E. T. et son : "Je serai toujours là !" L'idée géniale (non ?) serait un nouveau film sur les retrouvailles des deux gamins, ET l'extraterrestre et Eliott l'humain, devenus adultes.
Faustine et le bel été de Nina Companeez, rassemblant une pléïade de jeunes comédiens et acteurs comme Isabelle Adjani, Francis Huster et Jacques Spiesser, et Les zozos de Pascal Thomas font partie des films qui me reviennent à l'esprit et qui ont imprégné et fait voyager la Lenaïg de l'époque en sublimant sur grand écran paysages et comportements, entre rires et crises de la jeunesse de sa génération.
Je vais au cinéma seule ou accompagnée, je vais faire rire si je déclare que c'est un excellent plaisir solitaire, c'est pourtant vrai mais je suis également heureuse de m'y rendre en compagnie, ce qui élargit le plaisir à des échanges d'impressions après devant un verre ou un bon repas !
Il y a quelques semaines à Brest je n'y suis pas allée seule et nous nous sommes offert un copieux après-midi et début de soirée en salle obscure. Deux univers bien différents, celui très dépaysant de la turque Sibel qui ne s'exprime que par sifflements, d'un langage sifflé qui appartient à sa région, Sibel l'insoumise qui résiste envers et contre tous à la poigne de fer de la tradition et A kind of magic - Une année pour grandir dans un collège irlandais où les personnages jouent en fait leurs propres rôles, élèves comme professeurs, un collège qui existe vraiment et ne ressemble que de très loin au Poudlard de Harry Potter contrairement à ce que j'ai lu (peut-être les décors tout de même et certaines allusions des élèves), un collège très vivant, dirigé par deux professeurs près de prendre leur retraite mais d'un pittoresque soixante-huitard étonnamment irlandais.
Ce sera un cliché que de souligner le suspense lorsque les lumières de la salle s'éteignent et que l'on voit défiler les préliminaires au film, délicieusement impatient de découvrir comment celui-ci commencera, quel paysage et quel personnage apparaîtront en premier à l'écran, mais tant pis ! cliché ou pas, tout le monde attend d'être happé, en route pour un autre monde que celui de son quotidien.
Lenaïg
PS de ce lundi de Pâques : après relecture du thème de Laura, je me rends compte que je n'ai pas cité mon réalisateur préféré. C'est parce que je n'en ai pas, ou alors ... si, Pedro Almodovar ! Pour son humour détonnant, son esthétisme coloré (comme les sacs à main et vêtements de la marque espagnole au s à l'envers), sa chaleur humaine et grande humanité qui éclaire les drames d'un solide optimisme bienfaisant. Je crois que je n'ai vu que Talons aiguilles au cinéma et les autres ... à la télé.
http://leblogdelenaig.over-blog.com/article-defi-n-94-de-hauteclaire-un-script-lenaig-114367028.html
http://croqueursdemots.apln-blog.fr/defi-219-cest-laura-qui-sy-colle/
https://www.avoir-alire.com/sibel-la-critique-du-film
http://www.film-documentaire.fr/4DACTION/w_fiche_film/50326_1
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C'était un petit renard
qui attirait le regard
La forêt éberluée
Des profondeurs à l'orée
Le trouvait bien mystérieux
Et n'en croyait pas ses yeux !
Les elfes et sangliers
obnubilés par ses pieds
s'interrogeaient en silence
Doutant de son existence
Elfe, toi qui es magique,
Ceci n'a rien d'excentrique !
Conteuse a priorité
Entre rêve et vérité !
L'idée ne vient pas d'elle,
Magasin tient le modèle
Mis sur tasse, sur coussin
En bottes il se sent bien !
De la ville il faut l'abstraire
Promenade imaginaire
Des bottes par temps pluvieux
C'est ce qu'il y a de mieux
Ne pas se salir les pattes
Et patauger dans les flaques
Voici un plaisir d'enfant
Voire même pour les grands
Mais l'ombre du chat botté
Individu très futé
Se rappelle à la mémoire
Lui qu'on a bien voulu croire
Alors, y a-t-il, caché,
Une autre histoire à chercher ?
Lenaïg
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