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http://www.zazzle.fr/balai+de+sorci%C3%A8re+invitations
Sorcière elle est
Oh mais gentille
Pas de souci
Horreur bannie
Rire à la clé
Ouf c'est un jeu
Ne craignons pas
Un mauvais sort
Et chantons-la !La chanson de Sophronue, c'est :
Lenaïg
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http://www.coloriagesgratuits.com/coloriages-jouets-et-jeux-a-colorier.html
Acrostiche pour la Cour de récré de maîtresse Jill***
- Fils d'Angélique et de Joffrey de Peyrac ?
Florimond romanesque, dans la saga
qui a fait rêver sa grand-mère ! - Le prince charmant de Tchaïkovski
dans La belle au bois dormant ?
Florimond danseur étoile ! - Ou le mathématicien de la Renaissance,
Florimond ami de Descartes ! - Rien qu'avec toutes ces célébrités
et bien d'autres, - Il pourrait paniquer, le bleu de la Récré,
de porter ce prénom ! - Mais il ne sait pas encore tout cela ;
rêve-t-il d'être un grand savant, - Ou un astronaute, un archéologue,
un sauveur de la planète ? - Non ! Il se contente d'être un petit garçon
et un héros sur ordinateur ! - Devoirs et leçons ? Pouce !
Il est en vacances et pour l'heure,
il est Harry Potter !
Lenaïg
http://www.jeuxvideo.fr/lego-harry-potter-years-1-4-pas-cher-2569836-0.html
17 commentaires - Fils d'Angélique et de Joffrey de Peyrac ?
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Des haïkus parfois, des tercets, des petites phrases,
sur le thème de l'éolienne, du ressenti avant tout
et l'occasion de "papoter" entre ami(e)s !http://www.expressio.fr/expressions/se-battre-contre-des-moulins-a-vent.php
et pourtant
elle n'est pas gagnée..
Cette bataillehttp://patrimoine.blog.pelerin.info/2014/07/15/lanouee-eolienne/
Un pied trois ailes
drôles d'oiseaux au village
Coq en fer tout coiJill Bill
***le progrès mais pas si écologique que ça-
des tonnes de béton pour les tenir au sol et ce dans la nature-
les martiens doivent se demander ce que sont ces grandes girafes !!le meunier dort souvent car beaucoup sont à l’arrêt quand je les croise !
Josette
***On en voit de plus en plus et ce n'est pas fini !!!
Monelle
***http://www.saintjeanlachalm.fr/parc-eolien.php
Hélices au sol
Bras levés vers le ciel
Tournent dans le vent.Victoria
***http://classes-presse-2014.ac-rennes.fr/spip.php?article608
Esthétiquement
c'est la mer leur élément !Lenaïg
***
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Seuls sur la plage
Dernier bain dans l'océan
Octobre en larmes
Martine 85
***http://se-preparer-aux-crises.fr/citation-seneque-seul-larbre-qui-a-subi-les-assauts-du-vent/
Feuillage coloré
Beauté de la forêt
Bientôt dénudé.
Victoria
***http://lj2d.com/2011/04/rosee-du-matin/
voyage d'octobre
sur une goutte de rosée
navigation à vue
Annick ABC
***http://www.centerblog.net/image-blog/240813-27848-couleurs-et-parfums-automne-
Voyageant au vent,
les parfums de la saison
mettent l'or au coeur.
Lenaïg
***http://www.fotosearch.fr/CSK131/ks4008/
Age de la vie
cuisiner sa liberté
Poivre et sel
Jill Bill
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http://gusandco.net/2011/04/12/loups-garous-ses-variantes-tour-dhorizon/
La bibliothèque est tenu par un anthropologue qui s’était enterré ici, Dieu sait pourquoi. Il ne lui a pas été difficile de traduire les signes exprimés en vieil allemand. « Tenez-vous loin de la cabane » en est en substance la traduction. C’est un avertissement des plus clairs. Chacun est rentré chez soi, passablement perturbé. Personne ne sait quoi faire.
Keith
« Arrivé à la maison, mon premier réflexe a été de décrocher le téléphone pour avertir la police. Puis je me dis que si je disais avoir poursuivi la créature jusqu’à la cabane avec un fusil, je m’attirerai des ennuis. J’ai raccroché à regret. Je m’en fais beaucoup pour ma famille, mais tout ce que je peux faire est de demander à la sœur de Diana de venir lui tenir compagnie, quand je ne suis pas là. »
Diana
« Je pense que Keith me croit maintenant. Il s’inquiète beaucoup de savoir que quelqu’un rôde dans les environs. J’ai aussi peur et je crains pour ma vie et pour celle de ma fille. Évidemment, je crains aussi pour Keith, bien qu’il soit assez costaud. »
Keith
« Tout ça a affecté notre vie quotidienne. Pouvais-je laisser seule ma famille, sachant ce que je sais ? Mais je ne peux cesser de travailler et nous ne pouvons pas déménager. Je me creuse toujours la cervelle pour trouver quelque solution.
Quelques semaines plus tard, Denis me téléphone. Il veut m’emmener quelque part. Durant le trajet, il ne me parle que de futilités. Finalement, je me rends compte que nous allons vers la fameuse cabane. Je vois garée devant, une voiture de patrouille. Je demande à Denis ce qui se passe. Il me dit que Georges est décédé, et qu’il a fini par tout raconter à la police.
Un agent sur le seuil nous fait signe d’approcher et d’entrer. Nous avons jeté un coup d’œil dans la fameuse cabane. Il n’y a pas le moindre effet personnel, pas de nourriture, pas de vêtement. On n’aurait jamais dit que quelqu’un y ait jamais vécu. Ça a été décevant, rien ne nous a renseignés sur Georges.
L’autre agent nous appelle en ouvrant la porte d’une autre pièce. Étonnamment, la porte est doublée d’une épaisse plaque d’acier. Une forte odeur nauséabonde et de chien mouillé nous agresse. Nous entrons avec précaution. Il n’y a aucune ouverture, les policiers sont obligés d’utiliser leur torche. Tous les murs sont recouverts par des plaques d’acier fixées par des barres de métal et de rivets. À un mur est fixé un solide rivet qui retient trois mètres de solide chaîne. On a dû enfermer quelqu’un dans cette pièce… mais qui, et pourquoi ? Partout sur les murs, on constate des traces de griffure, certaines très rouillées, d’autres plus récentes ; on voit qu’elles ont été faites à différentes époques.
Nous nous sommes regardés tous les quatre en silence. Je crois qu’on a tous le même mot à l’esprit, mais personne n’ose le dire. Non, c’est impossible, ça n’existe pas… Et pourtant… Un loup-garou. Nous sortons, perplexes. Pour tout bien, Georges n’a laissé qu’un pot rempli de menue monnaie et un almanach dont les pleines lunes ont été soulignées. Il a été enterré dans une tombe anonyme. »
Depuis la mort de Georges, les harcèlements ont cessé. Des enquêtes menées trente ans en arrière ont montré que Georges avait acheté des plaques, des rivets et des barres d’acier. Il a été constaté que c’est vers la même époque que les égorgements avaient cessé.
Un spécialiste en cryptozoologie et ésotérisme a avancé que Georges se transformait toutes les nuits, mais au cours des lunes pleines, il perdait toute conscience rationnelle et devenait bestial et ne se contrôlait plus. Pour y remédier, il s’emprisonnait et s’enchaînait. Comme il perdait toute intelligence, il ne pouvait se libérer qu’en redevenant lucide. Il ne se nourrissait que la nuit en chassant les animaux de la forêt et était relativement inoffensif en dehors des périodes de pleine lune. Mais le temps passant, il se trouva un penchant malsain au voyeurisme. C’était en définitive bénin, mais plutôt effrayant.
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