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    Vieilles dames, deux destins,

    Margaret et Marguerite,

    Juste en quelques phrases, vite,

    Je vais vous conter un brin.

     

    Marguerite est à Paris,

    Margaret en Angleterre.

    Elles ne se voient plus guère.

    Entre elles deux c'est fini.

     

    Beau souvenir d'amitié,

    D'abord par correspondance,

    Puis rencontres en vacances,

    Cela ne peut s'oublier.

     

    Le lien s'était donc tissé,

    Au temps de l'adolescence,

    Des secrets, des confidences,

    C'était parti pour durer.

     

    Swinging London, gai Paris,

    Nombreux étés d'affilée,

    Retrouvailles exaltées,

    C'est fou comme elles ont ri !

     

    Ensuite elles ont cogité,

    Sur la vie et sur le monde,

    Sous leurs jeunes têtes blondes.

    C'est là que ça s'est gâté.

     

    Chacune a choisi son camp,

    S'impliquant en politique.

    Des options et des optiques :

    Défendre petits, ou grands.

     

    Et le ravin s'est creusé,

    Sous le lit d'un grand silence,

    Beaucoup trop de divergences.

    En souffrent-elles ? Je ne sais.

     

     

    Lenaïg

     

     

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    Photos du net :

    Londres et Paris en 1949

    Londres en couleur,

    Paris en noir et blanc.

     


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    C’est une proposition de contrat fascinante. Quelqu’un veut faire buter Cal « Le Tordu », mais une réunion de pontes a joué la modération. Cal a fait perdre des fortunes à certains, c’est sûr, et il est plus qu’inconvenant qu’un membre de l’Organisation arnaque ses propres pairs : les moutons du dehors sont assez nombreux pour être tondus. Toutefois, il est un parrain assez influent et beaucoup ont tiré profit de ses compétences, surtout dans le domaine du trafic de drogues, quoiqu’il soit plus spécialisé dans les combines sportives. Il faut avant tout prouver sa mauvaise foi avant de le sacrifier.
     

    Il est plutôt difficile, sinon impossible, de soudoyer un quelconque lieutenant de Cal. Celui-ci a acquis la loyauté sans faille de ses hommes par, outre une rémunération et un intéressement élevés, sa protection sans faille, tant du point de vue juridique que fiscal. Il ne reste donc qu’à infiltrer l’organisation de Cal « Le Tordu ». Cependant, compte tenu de la grande méfiance du gars frisant la paranoïa, il faut une taupe qui ne fasse pas partie de l’Organisation.


      Le présent contrat sort évidemment du cadre habituel. Il n’est pas étonnant que le Cobra, l’Ombre et la Belette l’aient décliné. Jouer le rôle d’une taupe pour confondre le cas échéant la duplicité de Cal, puis le supprimer s’il s’avérait être une ordure, n’est pas vraiment un boulot attirant pour un quelconque tueur à gage qui préfère le fric rapidement gagné.


      Ce n’est pas tant la prime conséquente en tant qu’infiltré qui m’attire, mais c’est le genre de challenge qui peut m’intéresser. Évidemment, je dois y consacrer au moins un mois pour que mon personnage soit crédible. J’ai assez de relations dans le Milieu, tout en n’en faisant pas partie, pour me faire recommander pour du boulot plus ou moins « délicat ». J’y suis connu en tant que Claude Debris, un très bon comptable suffisamment versé dans la manipulation de chiffres.


      Avec l’aide de Romain, il ne m’a pas été difficile de saboter à distance par le réseau informatique les opérations truquées du bookmaker de Cal et pousser celui-ci à m’engager sous les chaudes recommandations du gérant du Dé Cassé (qui me doit quelque service, soit dit en passant).


      J’ai dû annoncer à Yvonne et à Dany que je devais partir en mission pour un boulot. Je ne sais par s’ils ont été vraiment dupes, mais je doute un peu que ma métisse l’ait été. Il fallait dissocier Claude Debris du personnage de Georges Kulas, tant pour leur sécurité que pour la mienne, et j’ai dû loger dans un petit studio pour la durée du contrat.


      En examinant la comptabilité avec l’aide à distance de Romain, bien au chaud dans son île, j’ai pu constater que beaucoup de gains de Cal coïncident avec les pertes de certains parrains, tout ceci grâce à la puissance des machines dont dispose mon vieil ami. Mais je ne sais pas toujours comment ce tordu s’y prend.


      Je sais maintenant que c’est Mario « Le Rat Zingueur » qui m’a proposé le contrat. Ce Cal Hamitey est un petit futé qui sait s’adapter à la technologie : il a truffé de micros la plupart des QG de ses pairs. Il sait qu’il y a une taupe chez lui, et pas n’importe quel mouchard : le fameux Éboueur. Je rends grâce à la technologie qui m’a permis d’être au courant, car j’ai aussi semé quelques minuscules micros ici.


      J’ai eu un peu chaud, quand Cal s’est mis en tête de démasquer l’Éboueur. C’est plus par fierté que par peur de sa vie : il ne sait pas vraiment pourquoi je suis ici. Un petit doute inconfortable m’a tout de même tracassé ; je me demande si j’ai pris toutes les précautions pour cacher Georges Kulas, les hommes de Cal ne sont pas tous bêtes et ils sont nombreux à enquêter à gauche et à droite.


      Ma patience a fini par payer. Cal projette d’organiser une rencontre sportive et a décidé de filer un tuyau crevé (du 40 contre 1) à Joe Malphra, le parrain de la Côte Ouest. Le minuscule micro que j’ai collé à l’étui de son portable à sa ceinture quand j’ai feint de l’embrasser de reconnaissance pour m’avoir embauché, m’a transmis intégralement sa machination diabolique. Je transmets directement l’enregistrement à Mario « Le Rat Zingueur » et j’entame la deuxième partie du contrat. Si Cal avait été innocent, je n’aurais eu que la prime d’infiltration, conséquente tout de même.


      « Le Tordu » le bien nommé me surprend par sa fumeuse idée pour me démasquer. Le plus comique, c’est qu’il a de fortes présomptions contre Ed Helveis, la petite frappe prétentieuse. Ce qui est drôle, c’est que moi aussi j’ai des vues sur le petit truand, pour la suite de mon plan. Mine de rien, comme un semeur de zizanie, je lui ai insinué que sa part d’intéressement est inférieure à celle des autres ; les chiffres ne mentent pas (alors que je cherche à lui arracher les dents). D’autre part, monsieur Callaghan projette, soit de le virer, soit de l’éliminer, car il le trouve trop ambitieux. Moi je dis que je l’admirais pour son courage, sa connaissance approfondie des armes… et sa bouille sympathique. Je lui ai recommandé d’avoir toujours son feu fin prêt… pour toute éventualité. Et il m’a écouté, le brave petit.


      Avec l’aide de Romain, j’ai fait miser sur le tuyau crevé destiné à Ed, et j’ai fait parier sur la combinaison fumante de Cal, pour compenser les pertes. « Le Tordu » a été persuadé que cet enfoiré de Ed était l’Éboueur. J’ai évalué la probabilité de la fusillade à quatre vingt quinze pour cent. Le cas échéant, si Ed n’avait pas été assez rapide, j’aurais forcé le destin par une autre combinaison mettant en œuvre le poison.
      Je me suis quand même empressé de donner signe de vie pour récupérer mes honoraires, au cas où on aurait cru que l’Éboueur avait été abattu.
     
     Fin

     

    RAHAR


     

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    Photos du net :

    Christopher Reeve, en Clark Kent et Superman.

     

     

     


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    Aussi vide que l'écran d'une présentatrice de météo à la télé avant la projection des cartes, lequel écran, ô ironie du sort, affichait l'unique couleur d'un ciel radieux, tel était l'état de la page de la Croqueuse de mots qui administrait ce blog en ce dimanche soir, veille du défi qui portait justement sur l'évocation sans la nommer de cette couleur.

     

    Il fallait réagir, ne pas se laisser gagner par une humeur mélancolique et désabusée (comme le faisait chanter Serge Gainsbourg à Jane Birkin), une humeur qui porterait également cette couleur, déclinée au pluriel, à rapprocher des chants et des rythmes afro-américains. Tiens ! Si elle se passait un disque de John Lee Hooker, ou alors du Stan Getz, du Nougaro, pour rester dans le label de la note de la même couleur ? Cela lui donnerait la pêche, l'inspiration viendrait, la page se remplirait d'un camaïeu de turquoise, ou d'azur, ou de topaze, ou de teintes marines qui, paradoxalement, par leur apparition, lui ferait voir la vie en rose !

     

    Et si elle cherchait à définir la nature exacte de la teinte de peau des petits Schtroumfs de Peyo ? Et si elle se renseignait mieux sur la motivation d'Yves Klein ? Et si ... elle écrivait une histoire d'amour du genre de la fleur qui a cette couleur, où elle donnerait à son héroïne des yeux myosotis, à moins que l'envie d'exotisme ne l'entraîne au bord d'un lagon ?

     

    Elle devrait éviter les clichés, tâcher de faire du neuf mais, pour l'heure, le but semblait atteint : la page s'était couverte de signes comme autant de petits carreaux d'un fond de piscine, et les vaguelettes en prenaient la teinte des mers du sud, tout en reflétant un ciel parfaitement dégagé. Point de petit pull marine comme pour Isabelle Adjani chantant ... du Gainsbourg (encore lui ! Sorte de diable fumeur de havanes sortant de sa boîte au détour d'un mot, enveloppé dans ses volutes de fumée, pas blanches mais ... colorées, dirons nous, sans tomber dans le piège au passage). Non, son héroïne ne toucherait pas le fond, mais commencerait sa journée en y nageant gaiement ou en se laissant flotter.

     

     

    Lenaïg,

    qui, après les haïku chez Mamylilou, se trouvait un peu à sec pour traiter en prose le même sujet, mais l'ayant chaotiquement relevé, se réjouit d'aller lire ce que les autres ont ... sorti !

     

     

     

    Enoncé du défi chez Moog !

     

     

     

     


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      Calaghan Hamitey dit Cal « Le Tordu », est le parrain de la banlieue ouest. C’est un type de la soixantaine encore vert, féru de boxe. Il tire d’ailleurs de ce sport toutes ses combines en en truquant les matches. Il touche bien sûr à la drogue et au racket, mais comme qui dirait, en dilettante. La rumeur lui fait imputer la mort « accidentelle » de quelques poulains un peu récalcitrants. Mais seules quelques rares personnes peuvent se vanter d’être témoins ou avoir des preuves.
      Arrogant et imbu de lui-même, aussi avide, sinon plus, que le roi Midas, il n’hésite pas à flouer ses pairs en leur filant de temps en temps des tuyaux crevés. Son machiavélisme est tel qu’il arrive toujours à tirer son épingle du jeu. Cependant, certains, moins naïfs — ou plutôt plus méfiants — ont fini par se douter de la bonne foi de Cal Hamitey. Mais aucun n’a trouvé le moindre bout de la queue d’un indice pouvant conforter le soupçon.
     
      — Allons Joey, tu te fais des idées.
      — Je vous assure m’sieur Hamitey que c’est très sérieux. Je tiens l’information de la bouche même du premier garde du corps de Mario « Le Rat Zingueur », notre micro clandestin a tout capté.
      — Mais pourquoi infiltrer un tueur à gage dans mon équipe ? Si on veut me tuer, pourquoi toutes ces finasseries ? C’est invraisemblable. N’y aurait-il pas eu une erreur quelque part ?
      — Je suis formel, l’enregistrement est impec, on entend bien citer le nom de l’Éboueur.
      — Je ne comprends pas, j’aurais déjà été tué, si c’est vraiment lui.
      — Alors, ce n’est peut-être pas vous, la cible.
      — Ah, mais c’est logique, Joey ! Ça me rassure… Mais il ne sera pas dit que moi, Hamitey, je tolèrerais un tel affront. On va le trouver, cet Éboueur.
      — Oui, mais comment ? On dit que personne ne le connaît.
      — C’est forcément l’un des derniers recrutés. Va, renseigne-toi vite.
      — Qu’est-ce qu’on fait si on le trouve ?
      — Je vais l’éliminer, pardi ! Ça apprendra à ce connard de Mario… et à ceux qui voudraient s’y mettre aussi à m’utiliser pour leurs combines.
     
      Quatre hommes ont été recrutés dans le mois : Beau Poinié, un entraîneur débauché d’une écurie célèbre, Jules Maron, un « percepteur » de la section racket, Claude Debris, le nouveau comptable, et Ed Helveis, une petite frappe qui pouvait être prometteur.
      Beau est un ancien champion poids léger. Cal l’avait fait coucher maintes fois sans problème, parfois à l’insu de son écurie, pour le grand bien des poches du malfrat. Il est peu probable que ce cheval sur le retour soit un tueur à gage, compte tenu du peu de loisirs dont il disposait avant.
      Jules est une brute épaisse qui ne connaît que le langage des poings. Ce culturiste dénué de toute subtilité ne peut servir qu’à intimider. Mais on a déjà vu des pseudo demeurés bien cacher leur jeu. Un tueur à gage peut très bien se passer d’un feu et se fier à ses mains nues ou à une arme blanche, ou même à une corde à piano. Les références dans ce milieu ne signifient pas grand’chose, la corruption et le népotisme y règnent évidemment.
      Claude est le type même du petit comptable besogneux. Cal s’était plaint à Glenn, le gérant du casino Le Dé Cassé, de l’incompétence de son bookmaker dans la manipulation des chiffres destinés au fisc ; son ami lui avait chaudement recommandé ce Claude Debris qui pouvait noircir le blanc ou blanchir le noir comme en se jouant. Il est difficile de penser que ce binoclard aussi timide qu’une souris et apparemment émotif comme une vierge, ait l’étoffe d’un tueur au sang froid. C’est un comptable intérimaire qui ne doit pas gagner des masses, au vu de sa mise des plus modeste et sans aucun goût. Cal a même vu ses yeux briller quand il lui avait annoncé son salaire (à peine deux fois ce que gagne un intérimaire) et il a été franchement embarrassé quand l’énergumène lui a pompé avec vigueur le bras, en le bousculant dans son enthousiasme.
      Ed est un pur produit de la rue. Bagarreur, courageux au point d’être téméraire, maîtrisant les armes à feu dès seize ans, cet individu a fait montre d’une habileté incroyable en réussissant à éviter les maisons de redressement… à moins qu’il n’ait eu une veine de pendu. Ed est aussi caractérisé par son manque de scrupule, une ambition dévorante et un goût immodéré du luxe. Cal craint justement que ce jeune loup veuille brûler les étapes et faire feu de tout bois pour assouvir une faim de vie princière. Il ne serait pas étonnant que cette petite frappe mange à tous les râteliers.
      « Le Tordu » décide d’assigner un mouton à chacun de ces suspects, et il détache même l’un de ses loyaux gardes pour surveiller de près Ed Helveis.
     
      — Joey, j’ai une idée pour démasquer notre gibier.
      — C’est vrai, monsieur ? Alors vous êtes un génie.
      — Bah, c’est pas compliqué, Joey. Je vais dévoiler un faux tuyau devant chacun d’eux et voir si Mario va mordre à l’hameçon.
      — Mais monsieur, comment savoir qui a donné l’info ?
      — Bêta va ! Je vais donner un tuyau différent à chacun.
      — Ah, je comprends maintenant ! Chapeau, monsieur.
     
      Le piège a apparemment fonctionné. Une mise conséquente avait été signalée sur la cote dévoilée à Ed Helveis. Il n’y a aucun doute pour Cal Hamitey, c’est Mario qui est derrière le pari. « Le Tordu » jubile, il va faire sa fête à l’Éboueur et rit sous cape du joli tour qu’il a fait à Mario « Le Rat Zingueur ». Il sort son petit colt bien discret de son tiroir et se dirige vers la salle de briefing. Ce salaud de Ed y est.
      Tout va très vite. Cal tient son petit colt derrière le pan de son veston. Ed, devant la fenêtre, se retourne, une main dans la poche. En ancien enfant des rues habitué à être aux aguets, il perçoit tout de suite le danger et sa main vole à son holster. Une seule détonation. Un corps qui s’écroule.
      — C’était de la légitime défense… de la légitime défense, tu as bien vu, Joey.
      — Tu… tu es… l’Éboueur…
      — Quoi ? Qu’est-ce que tu radotes, Joey ?
     
      Joey prend ses jambes à son cou et rameute les autres gardes. Ed hurle qu’il n’est pas ce foutu Éboueur. Il tombe, criblé de balles. Les hommes de Cal on vengé leur parrain et éliminé le célèbre tueur à gage.

     

    A suivre

     

    RAHAR 

     

     

     


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    Questionnaire copié-collé de la page de Jill,

    sauf les réponses que j'ai pensé quand même à changer !

     

    ***

     

    Attrapez le livre le plus proche

    Allez à la page 18

    Ecrivez la 4ième phase...

      Alors, je saisis l'objet à lire le plus proche, c'est le Hors série de Sciences & Vie de ce mois de septembre : ce n'est pas un livre, c'est un magazine, mais tant pis ! Pas de bol, la page 18 ne comporte aucun texte, mais une représentation de l'univers ... Je saisis un vrai livre en cours, cette fois-ci : "Thérèse et Pierrette à l'école des Saints-Anges" du Québécois Michel Tremblay. Je trouve, après trois phrases très longues, ceci :

    "ça paraît quasiment pas !"

    C'est bien ma veine, je ne sais toujours pas taper les "ç" majuscules !

    Après cela, nous sommes bien avancés ! Moi je sais, de quoi il est question, Marie-Louve aussi, mais les autres, qui ne connaissent pas ?

     

    Sans vérifier devinez l'heure qu'il est !

    Presque 7 h 00 du soir.

    Vérifiez

    Ah ? Encore 49 mn avant 7 h 00, j'allais trop vite.

     

    Que portez-vous ?

    Un jean, un tricot en coton et ... mes grosses mules Betty Boop, celles que personne d'autre que moi ne doit voir.

     

    Avant de répondre à ce questionnaire

    Que regardiez-vous ?

    "On ne demande qu'à en rire", émission de Ruquier sur F2.

     

    Quel bruit entendez-vous

    A part celui de votre ordinateur ?

    La télé en sourdine et la rumeur de la rue par la fenêtre entrouverte.

     

    Quand êtes-vous sorti la dernière fois ?

    Qu'avez-vous fait ?

    Tout à l'heure, fait des courses, alimentaires mon cher Watson.

     

    Avez-vous rêvé cette nuit ?

    Sûrement, et si c'était bien, dommage que je ne m'en souvienne pas.

     

    Quand avez-vous ri la dernière fois ?

    Il y a dix minutes.

     

    Qui a t-il sur les murs de la pièce où vous êtes ?

    Des décorations à ma façon.

     

    Si vous devenez millionnaire dans la nuit

    Quelle est la première chose que vous achèteriez ?

    Aaah, mon droit à la retraite, pour pouvoir enfin gérer mon emploi du temps à ma guise sans être absolument obligée de me faire rémunérer.

     

    Quel est le dernier film que vous avez vu ?

    Habemus papam au cinoche, séance du samedi matin à 6 euros.

     

    Avez-vous vu quelque chose d'étrange aujourd'hui ?

        Je n'ai rien vu de particulièrement étrange, mais entendu, ce matin, oui : dans la matinée, un énorme bruit en cascade, j'ai cru à une explosion ; la pluie s'est mise à tomber, j'ai compris que c'était le tonnerre et que la foudre venait de tomber tout près. Heureusement que ce fut tout, car l'orage me terrorise.

     

    Que pensez-vous de ce questionnaire ?

    Je suis perplexe, je me demande à quoi il sert. A rien, peut-être ? Ce qui serait déjà beau, en soi.

     

    Dites quelque chose sur vous

    Que nous ne savons pas encore !

      J'ai un lapin nain tatoué sur la fesse gauche.

     

    Quel serait le prénom de votre enfant si c'était une fille ?

    Typhaine, comme la dame au hénin, femme de Duguesclin.

    Un garçon ?

    Vincent, comme mon parrain.

     

    Avez-vous déjà pensé à vivre à l'étranger ?

    Oui, au bord du Loch Ness, car le monstre n'est pas un canular, je sais qu'il existe, je l'ai déjà rencontré.

     

    Qu'aimeriez-vous que Dieu vous dise

    En franchissant les portes du Paradis ?

    Tu aurais pu faire mieux et il y a encore du boulot !

     

    Si vous pouviez changer quelques chose dans le monde

    En dehors de la culpabilité et de la politique que changeriez-vous ?

    Les transports urbains : uniquement carrioles et calèches tirées par des chevaux et tant pis pour le crottin, on a déjà les crottes de chien ...

     

    Aimez-vous danser ? 

    Oui, sauf le tango, que je n'aime pas trop.

     

    Quelle est la dernière chose

    Que vous avez regardé à la télévision ?

      Je ne vais pas répéter pour ne pas lasser !

     

    Signé :

    Lenaïg

     

     

    Quels sont les 5 personnes

    Qui doivent prendre le relais sur leur blog

    (Si elles le veulent bien)

     

    Que les volontaires se dénoncent !

     

    Jill Bill et Carambaole s'y sont déjà collés !

     

     

    ***

    Illustration : www.bestrass.com.

     

     

     

     

     



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