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    Pour page Nez à nez avec son passé -couple-biker- www.fr.123rf.com 

     

    La moto filait maintenant sur l'autoroute et se dirigeait de toute évidence vers la ville. Nadine avait emprisonné sa chevelure blonde sous le deuxième casque tendu par l'inconnu et se félicitait d'avoir choisi un jean comme tenue de sortie. Elle  n'avait pas reconnu l'homme qui venait en quelque sorte de l'enlever dont elle frôlait le dos sur cette moto ... mais elle s'en fichait.

     

    Son passé était chargé de tant d'événements, de rencontres diverses, d'amants partis ou délaissés, de fêtes coquines en son manoir, où la satisfaction des sens faisait oublier les partenaires lors des lendemains pénibles, où le mal de crâne le disputait à l'impression de dégoût de soi, de relations de travail toujours gérées par elle avec une impitoyable efficacité, qu'elle ignorait totalement si le motard était un amoureux transi, un collègue viré, un truand qui la kidnappait en vue d'une rançon.

    Pour page Nez à nez avec son passé - perruque-diable-p221095~1 - mega-fetes.fr 

    Pourtant l'inquiétude pesait moins lourdement que la curiosité et tout ce qu'elle arrivait à se dire, c'était : "enfin, quelque chose de nouveau !" La moto se gara devant un immeuble, l'homme ôta son casque, Nadine fit de même ; il la prit par la main, composa le code de l'immeuble. Ils s'engouffrèrent dans l'ascenseur. Elle ne put s'empêcher de s'arrêter devant le miroir  pour remettre ses cheveux en place, vérifia que son maquillage restait impeccable, le fond de teint captant la lumière pour illuminer son visage tenait bien. L'homme regardait droit devant lui. La sentant l'observer, il ne put réprimer un sourire.

     

    Il ouvrit la porte d'un appartement et ils se retrouvèrent dans un salon pas spécialement cossu mais bien agencé, où des rayonnages impressionnants de livres dominaient deux fauteuils confortables entourant une table basse, ornée d'un bouquet de lys, sur laquelle attendaient deux flûtes à champagne et un seau à glace approvisionné. Il n'y avait pas de canapé.

     

    "Assied-toi" dit simplement l'homme, qui alla chercher sur son bureau un dossier et le déposa sur les genoux de Nadine, tandis qu'il débouchait la bouteille de champagne. Nadine ouvrit la chemise et découvrit une série de photos de classes, les mêmes que les siennes, en fait, au grand complet, de l'école primaire jusqu'à la terminale. Elle eut un choc en se revoyant, petite fille timide et appliquée, puis adolescente et jeune fille, à la beauté naturelle, élève plutôt brillante ...

     

    Que ce temps était loin ! Ils étaient au moins trente par classe... Sur ces photos, l'homme présent devait se trouver ... Elle leva les yeux vers lui, qui s'assit à son tour, lui tendit sa flûte en déclarant tranquillement : "Tu ne me reconnais pas ? Cherche-moi !"

     

     

    Leng,

    qui a la nostalgie des histoires à suivre et à plusieurs plumes !

     

    Texte écrit en octobre 2010 dans le cadre d'un jeu, pour embrayer sur un premier épisode écrit par Chatoune sur Lgdm. Mais resté en suspens car Chatoune n'était plus revenue sur le site et personne n'avait pris le relais !

     

    Avant cet épisode écrit par moi, il y avait un début, dont je me suis inspirée pour le mien, car ce personnage féminin me semble être aux antipodes de ce que je suis dans la vie, hi hi ! Une Nadine audacieuse, dans le chapitre de Chatoune, acceptait un rendez-vous, fixé -je ne me souviens pas comment- par un inconnu et celui-ci arrivait à moto sur le lieu indiqué et lui ordonnait de monter derrière lui !

     

    Après tout, lecteurs ou lectrices qui passeriez par ici, libre à vous de bâtir une suite, au gré de votre fantaisie, en ayant juste la gentillesse de me le signaler ! Si je me sens de le faire aussi, je continuerai ! Et plusieurs suites différentes, voilà qui serait passionnant ...

     

     Pour page Nez à nez avec son passé - w6-la-classe-de-titeuf2- www.titeufworld.free.fr

     

     

    Illustrations :

    Références dans Album photos Fantaisies 5, regroupées sous "Pour page Nez à nez avec son passé".

     

     

     

     

     

    Et une suite, déjà, chez Qu'importe link !

    Le mystère se renforce, une menace se profile peut-être ... Oh, vais-je arriver à dormir ?


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  •  Etrange - Gravure de Mauritz Cornelis Escher - www.postershop.fr

     

     

    Note de Lenaïg :

    Sans vouloir dévoiler quoi que ce soit, je voudrais tout de même avertir les lecteurs sensibles que les effets attendus ne comportent pas le rire. Amateurs de bizarre et d'épouvante, qui ne connaîtriez pas ce documentaire (c'était mon cas), à vous de voir !

     

     

    ***  

     

     

     
    Je viens de visionner un documentaire qui vous dresse les cheveux sur la tête. Je ne sais dans quelle mesure il a été diffusé, mais je l'ai eu sous le manteau. J'ai voulu partager un extrait qui pourrait intéresser, sinon divertir les lecteurs.

    Signé : Rahar !

     

     

    ***

         

       
       Dans les années 90, j’étais animateur chez WACN d’une émission intitulé "At once". Cette émission trihebdomadaire qui durait deux heures, de 22 heures à minuit, donnait l’opportunité aux gens d’exprimer un témoignage sur une situation ou un événement susceptible d’intéresser les citoyens. Nous disposions d’équipes qui pouvaient se rendre sur place pour que les téléspectateurs assistassent en direct au déroulement de la situation. Je peux dire qu’avant cet événement, nos équipes n’avaient jamais rencontré d’incident pouvant mettre en jeu leur sécurité.

     


       Cette nuit de Mai 1989, à 22h45, j’avais reçu un appel singulier, dans la mesure où la communication n’était pas parfaite, elle était un peu parasitée par des craquements et des grésillements, et la voix était étrangement lointaine.
       — Bonsoir, identifiez-vous s’il vous plaît, et exposez-nous votre problème.
       — Je m’appelle Anne Ferguson. Venez, vous devez venir, ils sont en train de faire du bruit.
       — Quelle est votre adresse ?
       — 1036 Sun Avenue East… Je ne supporte plus ce bruit.
       — Quel est ce bruit ?
       — Je ne sais pas… Ça bouge dans le noir depuis deux semaines. Qu'est-ce que c'est, un animal, un squatter, une conduite d'eau ? Non, non, je ne sais pas, mais ça bouge.
       — Avez-vous appelé la police, madame ?
       — Oui, mais elle n’a rien trouvé… Ils ont dû se cacher, mais en tout cas ils sont là.
       — Est-ce que vous vous sentez en danger ?
       — Je ne sais pas… Je ne les ai jamais vu.
       — OK madame Ferguson, votre maison fait du bruit, vous ne savez pas ce que c'est, la police n'a rien trouvé…
       — Allo ? Écoutez, ils bougent, ils ouvrent la porte…

     


       William était le reporter le plus proche de l’endroit. Je lui avais immédiatement envoyé l’adresse de la dame. Son caméraman a un appareil sans fil qui transmet la vidéo à un appareil relais de la camionnette, lequel relais nous envoie à son tour ce qu’il reçoit.
       On pouvait dire que William était un casse-cou, un téméraire qui prenait parfois des initiatives à la limite de la légalité. Il avait assez d’ascendant sur son caméraman pour l’entraîner dans son sillage. Néanmoins, c’était un bon reporter qui nous avait quand même gratifié d’excellents reportages.
       Dès que j’eus la confirmation que l’équipe était arrivée sur les lieux, j’avais basculé la vidéo sur leur caméra. Les téléspectateurs voyaient ainsi William avec son micro devant un imposant portail en fer forgé.

     

     

     

    Documents interdits, Arte - www.cinetrange.com

     

     


       — Il est 23h30, nous voici arrivés au 1036 Sun Avenue. L’endroit est plutôt désert et ne semble pas très engageant, l’intérieur de l’enceinte nous montre un jardin broussailleux qui ne semble pas bien entretenu. Nous voyons un grand manoir sombre, il n’y a aucune lumière… Il n'y a pas d'interphone… Le portail est ouvert, nous entrons dans la propriété et approchons de la porte d’entrée… Normalement, madame Ferguson aurait dû voir notre arrivée sur son poste de télévision… Mais personne ne nous accueille.
       La caméra montrait un panoramique de la propriété. Le spectacle était assez déprimant.
       — Comme vous le voyez, il y a des arbres assez âgés, les haies ne sont pas taillées… L’endroit semble assez lugubre de nuit. Même de jour, cela ne doit pas être très folichon. Le manoir date certainement du siècle dernier, mais semble bien conservé… J’ai frappé à la porte, mais personne ne semble venir. Madame Ferguson a dû se tromper de numéro…

     


       Brusquement, la porte s’était entrebâillée. Probablement sur un signe de son caméraman, William s’était retourné.
       — Ah ! Je crois que madame Ferguson s’est décidée à nous ouvrir… Madame Ferguson… Bonsoir madame, c'est l'émission "At once", venez, nous serons ravis de vous rencontrer… madame Ferguson… D'accord, il semblerait que madame Ferguson soit un peu timide… Madame Ferguson, cela vous ennuierait-il de nous laisser entrer ?… Cette porte ouverte est certainement une invite à entrer.
       J'avais autorisé William à pénétrer dans la maison.
       — Eh bien, nous allons entrer…
       Suivi du caméraman, le reporter pousse la porte et se décide à entrer lentement, comme avec une touche d’hésitation.
       — Madame Ferguson… Mais où est-elle donc passée ?… Wow! Comme vous pouvez le constater, nous sommes dans un vaste et luxueux salon plein de bibelots et d’œuvres d’art… Regardez ça, de belles fresques au plafond. Tout est éteint, seul le projecteur de la caméra nous éclaire…
       William fit le tour du rez-de-chaussée, mais il ne trouva personne. Il se décida donc à monter les escaliers. Je voyais ce que la caméra enregistrait sur mon moniteur de contrôle, en même temps que les téléspectateurs sur leur poste. Nous montions avec William.
       — Cet étage est aussi luxueux, sinon plus, que le rez-de-chaussée… Voyez cette décoration, ces objets précieux… Le propriétaire doit être un collectionneur avisé… L’étage n’est pas plus éclairé, mais faisons toujours un tour.
       Il était indéniable que l’habitation était la propriété d’une riche famille, au vu des images que montrait la caméra, et elle n’avait pas tout pris. L’étage était également vide de personne. À un certain moment, l’écran et le moniteur de contrôle furent zébrés par des parasites et le son fut interrompu par à-coups. Revenu au pied de l’escalier, William fut de nouveau visible et je l’entendis.
       — Je crois que madame Ferguson s’est retirée au second étage… Nous allons monter pour la rejoindre.

     


       J’eus comme un mauvais pressentiment et j’allais enjoindre William de renoncer, quand un autre parasite raya le moniteur et coupa le son. Je basculai immédiatement sur de la publicité et demandai à la régie de faire traîner jusqu’à mon signal. Puis William revint.
       Depuis le parasite, ma communication fut coupée et je ne pouvais plus parler avec l’équipe, alors que j’entendais tout ce que disait William. Mon appréhension sourde avait monté d’un cran. Je demandai à la régie d’improviser un programme pour le reste de l’émission. J’assistais alors en spectateur impuissant.
       — Nous sommes maintenant au deuxième étage… Tiens, c’est curieux, le plancher semble recouvert par quelque chose… On dirait une mince couche de neige… beige. Cela a une consistance de barbapapa, très léger. C’est absolument insolite… Regardons dans les pièces… Il n’y a personne.
       Au vu de la couche de… « neige », j’avais senti qu’il y avait quelque chose d’anormal. Cela me rappelait une précédente émission sur les chasseurs de fantôme qui avait montré un truc analogue. Je décidai de dépêcher une autre équipe sur place, en lui recommandant de ne pas monter au deuxième étage ; la communication avec William était toujours impossible.
       — La lumière du projecteur commence inexplicablement à faiblir, mais nous allons voir au bout de ce couloir… C’est étrange, j’ai comme l’impression que ce couloir est bien trop long pour faire partie de la maison où nous sommes entrés… je dois vous dire que je ne me sens pas très à l'aise dans cette situation, il y a quelque chose d'irréel, de malsain dans cet endroit… Je distingue comme une forme vague là-bas… On dirait une personne allongée sur un canapé… Peut-être que les personnes sensibles devraient s’éloigner de l’écran… Eh bien, non, je me suis trompé, ce n’était rien… Tiens, j’entends du bruit… Ça semble venir de derrière ce mur… Oh ! Voyez ça… La maison semble se décomposer…
       À ce moment, le moniteur fut zébré de parasites, puis la neige de coupure d’émission remplit l’écran, le son fit place au bruit blanc : la transmission fut définitivement coupée.


      
       Le matin, la police vint,  passa la maison au crible, mais même avec les moyens employés, on ne trouva personne. Le manoir était vide. On ne revit jamais plus William, ni son caméraman. Ils n’avaient pas pu s’éclipser, la deuxième équipe était sur place, n’ayant pas osé franchir la porte d’entrée, et avait assuré que personne n’était sorti. La porte de derrière était verrouillée et la serrure était rouillée.

     


       Plus tard, après quelques recherches sur l’historique du manoir, il s’était avéré que la dame Ferguson avait vécu dans les années 30. En ce temps-là, l’expansion urbaine avait été très rapide, tellement rapide que certaines infrastructures avaient eu du mal à suivre, notamment les égouts. Les rats avaient alors pullulé dans le quartier et avaient posé problème pendant deux ans. Le quartier était devenu par la suite résidentiel et où chacun s'occupait de ses propres affaires. Anna Ferguson n'avait pas d'héritier et le manoir était resté vide depuis un demi-siècle. Le plus étonnant était la propreté relative des lieux, comme si quelqu'un y habitait et entretenait la maison. On aurait pu penser que des squatters avaient investi les lieux, mais d'une part ils auraient dû laisser des traces, et d'autre part leur nature même les aurait fait piller la maison et la dépouiller de ses oeuvres d'art. Par on ne savait quel sortilège spatio-temporelle, la communication téléphonique de madame Ferguson avait abouti à mon émission, voilà donc pourquoi j’avais eu l’impression d’une communication lointaine. En fait, elle appelait un dératiseur.

     


       Après que la municipalité eût visionné la vidéo intégrale, impressionnée par la disparition inexpliquée de William et de son caméraman, elle décida de démolir le manoir. Elle fit couler une couche de plomb sur l’emplacement, la recouvrit d’une bonne épaisseur de béton, et l’endroit avait été déclaré zone interdite.
       Jusqu’à aujourd’hui, je me demande toujours où sont passés William et son caméraman. Ils ont dû basculer dans une dimension que je ne peux et n’ose pas imaginer. Avaient-il rencontré leur destin ? Si c'était une autre équipe, le manoir l'aurait-il avalée ? Toutes les personnes qui ont vu la vidéo, n’ont pu expliquer le phénomène.

    ***
      
     

    Etrange - Bâche trompe l'oeil - www.flickr.fr

     

     

      
    Mais, Rahar, nous ne laisserons pas les lecteurs parvenus jusqu'ici sur leur faim !

    Mystère et drame non élucidés, ou ... supercherie ?

    Deux liens pour découvrir la vérité !

     

     

    C'était un extrait de Documents interdits, d'Arte ( la 7).

     

    http://www.arte.tv/fr/1252798,CmC=1270156.html

     

    http://videos.www4.arte.tv/fr/videos/les_documents_interdits_11_12_-3449992.html

    ***

     

     

    Illustrations :

    1) Gravure de Mauritz Cornelis Escher, www.postershop.fr

    2) Documents interdits, Arte, www.cinetrange.com

    3) Bâche de chantier trompe l'oeil, www.flickr.fr

     

     

     


    5 commentaires
  •   Photo haïku n° 49 - Mamylilou - La-montagne-l-ete

      

       De l'été alpin,

    Vosgien ou pyrénéen,

    Je ne connais rien.

     

    Les volcans d'Auvergne,

    Comme les Monts de Lozère

    Fleurissent sans moi.

     

    Monts du Finistère,

    Pas de marmottes siffleuses,

    C'est un choix à faire.

     

    Tout petit sommet

    Du Finistère en été,

    Menez Hom aimé.

     

    Du haut, dans la lande,

    Parmi les fleurs de bruyère,

    On peut voir la mer.

     

    La mer, la montagne,

    Avoir les deux en été,

    C'est être gâté.

     

    Lenaïg,

     

    qui promet d'imaginer pour vendredi prochain des étés

    alpin, ou pyrénéen, ou vosgien, ou du Massif Central !

    Et qui va se renseigner pour savoir si l'edelweiss fleurit en été.

     


     

    Menez Hom

     

     

    Le Menez Hom, photo du net

     

     

     


    12 commentaires
  • Il me vient une idée ...

    Hop, vite, la noter !

    J'ai saisi mon cahier

    Mais ... idée oubliée !

     

    Va-t-elle revenir ?

    Car je voulais écrire,

    Même un petit délire !

    Comment la retenir ?

     

    Pour être aussi fugace,

    C'était un petit rien,

    Sinon ça se retient !

    Or ici nulle trace ...

     

    Quelques heures après,

    Malicieuse et futile,

    La bouche en coeur, tranquille,

    Elle réapparaît !

     

    Te voici capturée,

    Papillon dans filet.

    Je te garde au secret,

    D'un mot, je t'ai fixée.

     

    Papillon ... pavillon !

    Mon vieux plan je remise.

    Tu seras la surprise,

    Des Croqueurs, sur le pont !

     

    Lenaïg

     

    qui a réussi à pondre un petit quelque chose, et surtout à se connecter !

    En préparation du défi de la prochaine quinzaine, où je serai à la barre, je vous propose de tenter de deviner le mot clé ! Oui, j'ai changé mon plan de départ pour un nouveau, basé sur cette idée baladeuse ! Pas d'illustration ni de fond sonore, je n'arrive pas à en faire venir !

     

    Je vous donne ce mot en code chiffré. Nul n'est tenu de plancher là-dessus. Lundi, je révèlerai le mot en question.

    Les "ceuss" qui veulent peuvent déjà en prendre connaissance, en déchiffrant le code !

     

    Un indice : A = 3.

     

    On a le droit d'indiquer ce qu'on a trouvé !

     

     

    24 / 3 / 14 / 11 / 21 / 7

     

     

     


    13 commentaires
  • chat-volant

     

     

     

    J'ai connu ... un chat qui volait ! Il chapardait ? Ah non, pas un matou raflant gigots, rôtis ou poissons ! Il volait à l'instar d'un albatros, d'un faucon, dans son imagination ! Un chat savant, hors du commun, nourrissant sa vision, sans soupçon, au salon ! Son humain y avait un grand dispositif qui s'animait, où il voyait moult animaux inconnus.

     

     

    albatros-hurleur-2


     

    Pas vrai ! diront d'aucuns ? Pourtant, s'il s'agissait d'un don mirobolant ? Moi j'y crois !

     

     

     

    faucon-berigora-vol


     

     

    Un jour, mon ours, quand mon imagination à moi manquait,

    lança : "Pars donc sur la narration d'un chat qui volait !" Ayant mis sa proposition dans un coin, mon imagination partit d'abord ailleurs (oups !) suivit un cours distinct, mais ... nul oubli !

    Ma cogitation du jour, la voici !

     

     

     

     

    Lenaïg,

    lipogramme en (ou sans ?) E, le défi proposé en 50 mots minimum  par Commios, à la barre de la Coquille des Croqueurs pour cette quinzaine.

    http://poesiedebistrot.over-blog.com/article-a-l-abordage-defi-n-60-79635824.html

      

     


     

    Chat volant, un peu aidé ! Image du net

     

     

     

    Illustrations :

    Chat volant avec les sorcières pour Halloween, albatros hurleur, faucon berigora et chat qui vole un peu aidé, images du net.

     

     


    15 commentaires



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