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    La jeune babebine -car tel était son titre-, fille unique du mandarin mégalomane qui régnait en maître absolu sur cette planète située à une distance incommensurable de la Terre (aux confins de l'univers, quoi), était à se morfondre sur sa magnifique chaise longue installée sur la terrasse de l'immense propriété princière. Dans le sombre état d'esprit où se trouvait à ce moment-là la babebine, ce n'était plus sur une chaise longue qu'elle pensait déjà être mais dans une sorte de cercueil, voire de sépulcre et l'accueillante terrasse fleurie de rares orchidées, ornée d'orangers et citronniers en pot lui semblait faire office de ... catafalque.

     

    Comment les deux ou trois rencontres inespérées et si exaltantes de la pauvre princesse avec le groupe d'explorateurs de l'espace avaient-elles pu avoir lieu, malgré la vigilance paternelle et celle de ses barbouzes ? Elle en était encore à se le demander. Ces étrangers étaient d'une autre trempe que ses compatriotes, qui se laissaient écraser sans mot dire par la clique au pouvoir et elle avait savouré sa chance de pouvoir parler librement avec eux, à la faveur des festivités et des bals donnés en leur honneur. Ce qui la rendait si malheureuse, c'était que son père lui avait toujours témoigné son amour et sa tendresse, alors qu'elle le savait impitoyable et même cruel dans les affaires de l'état. Ce qu'elle ignorait, c'était que tous ses compatriotes ne ployaient pas sous ce joug écrasant et que la résistance s'organisait en grand secret. Elle ne savait pas non plus que les jours de son père étaient comptés, ainsi que les siens, si aucun événement ne venait perturber les plans des comploteurs.

     

    Tout en mordant distraitement dans une mancenille pourtant bien mûre et goûteuse, elle jetait de temps en temps un regard tantôt courroucé tantôt fataliste sur son scrogneugneu de père et sa suite en train de s'adonner au golf sur les pelouses en contrebas, tandis que les gardes du corps nounous bien gentils avec elle mais tout acquis au tyran assuraient à la fois son bien-être et sa sécurité autant que sa surveillance, la babebine essayait d'imaginer quel fiancé son père lui avait choisi et qu'elle n'avait pas encore vu, craignant le pire ... Sûrement rien à voir avec le bel homme robuste aux yeux de félin couleur malachite de l'équipe d'explorateurs spatiaux avec qui elle avait dansé, riant des pas et gestes maladroits de son cavalier, avec qui elle avait échangé quelques mots. En serait-elle tombée amoureuse ? Elle le connaissait à peine !

     

    Pendant ce temps-là, le copilote du vaisseau spatial en visite, très momentanément désoeuvré dans le luxueux appartement que son hôte lui avait attribué, révassait de son côté ... Il savait maintenant que leur mission commerciale n'aboutirait pas, du moins pas lors de cette première visite. Des événements graves allaient se produire dans quelques jours. L'équipage aurait déjà pu prendre le large mais cela aurait été très lâche. La babebine, qu'il appelait sa poupée de porcelaine était en danger de mort et certainement dans des circonstances atroces ... Il n'arrivait pas à se mentir et était conscient qu'il en pinçait pour cette jeune fille si dynamique et qui leur avait fait comprendre à demi-mots qu'elle n'approuvait pas du tout les méthodes de son père pour assujettir son peuple. D'ailleurs, tous les éléments males de l'équipage avait craqué pour elle et un plan de sauvetage avait eu le temps d'être élaboré avec leurs moyens techniques très sophistiqués.

     

    Ce fut en effet au cours du gigantesque feu d'artifice fêtant l'anniversaire de l'arrivée au pouvoir du potentat que la poudre révolutionnaire commença à parler ... Dans l'affolement général, la jeune babebine vit soudain se profiler devant elle la silhouette de l'homme aux yeux de félin, qui l'enleva dans ses bras et la fit descendre, encadré de ses complices et de plusieurs gardes du corps, qui avaient bien caché leur jeu, dans les sous-sols de la forteresse impériale par un passage secret. Un étrange engin excavateur et reboucheur, anti-résonance, à bord duquel ils embarquèrent tous se faufila sous terre jusqu'au vaisseau spatial, dont les moteurs ronronnaient déjà. La soucoupe s'envola prestement et la jeune babebine, éberluée, fit une plongée dans l'inconnu ...

     

    Il lui fut expliqué que sans cette opération, elle aurait été condamnée à mort. Le vaisseau se tint éloigné de la planète, dont la capitale s'était embrasée, tandis que toutes les grandes villes s'insurgeaient à leur tour. On ne mentit pas à la jeune fille quand on lui apprit avec tout le ménagement possible que son père avait été tué dès le début des hostilités par des tirs croisés et acharnés et, malgré sa douleur, la babebine se dit que cette mort était préférable à un procès suivi d'une exécution.

     

    Babebine se remit peu à peu de ses intenses émotions, s'intégra parfaitement à l'équipage, au sein duquel elle fut adoptée, dévoilant des connaissances scientiques insoupçonnées et se montrant curieuse de tout. Le bruit courut qu'une tendre idylle s'était nouée entre elle et l'homme aux yeux malachite, mais sans certitude. Babebine goûtait chaque jour sa liberté et avouait qu'elle gardait l'espoir de pouvoir remettre un jour les pieds sur sa planète de naissance, incognita ou pas, pour constater les progrès réalisés dans l'amélioration du sort de ce qui aurait pu être ... son peuple.

     

    Lenaïg

    pour le jeu des Mots ... tion de L'Esprit de la lettre sur facebook (Dominique Bar et Freddie Sailor), selon les mots imposés (en gras).

     


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  • Elevage de canards dans le Gers - www.photocommunity.com

     

     

    Depuis quelques temps, notre journal régional publie des histoires étranges sous le titre « Mystère ou canular » que je vais essayer de vous retranscrire ici, à ma façon.

     

    Nous sommes au mois d’octobre 1826 dans le village de Vigeois en Corrèze.

    Il fait nuit. Et, malgré le froid, un attroupement s’est formé autour de l’ancienne école aujourd’hui désaffectée.

    La découverte d’un corps putréfié aux membres découpés et à la tête décapitée a jeté les villageois hors de chez eux.

    Avec effroi, ces braves paysans reconnaissent l’un des habitants du bourg : Jacques Bonnel, leur quincailler, mort de maladie deux mois plus tôt.

    Quelqu’un a déterré le jeune homme et l’a affreusement mutilé.

     La rumeur publique accuse ouvertement Léonard Lafarge, chirurgien sexagénaire dont savant fou de wikipedia 47shv2gmtq8000gs0osgcggk 3qiq5re078 l’état d’ivresse perpétuel perturbe les nuits des Vigeoyeux. 

    Bien entendu, il se trouve même des témoins prêts à affirmer que le docteur Lafarge leur a offert un joli pécule pour l’aider à récupérer puis à transporter le corps.

    Mais ce dernier et ses cinq complices présumés (tous issus du corps médical) nient tout en bloc.

    Cependant des indices l’accusent : il avait loué l’ancienne école, soit disant pour y élever des canards et sa profession le dessert : n’aurait-il pas voulu disséquer le corps pour parfaire ses connaissances ?

    Léonard Lafarge est déclaré coupable et condamné à 16 francs d’amende, ce qui est peu cher payé.


     L’affaire aurait pu s’arrêter là mais des évènements laissent encore planer un doute sur Déguisement de sorcier - www.stoprix-shop.comcette sombre histoire.

    On apprend par la suite que quelques Vigeoyeux exerçaient une surveillance du cimetière après l’enterrement de Bonnel comme s’ils s’attendaient à cette profanation.

    Peu de temps après, le neveu de Léonard Lafarge est élu maire de Vigeois et le fils du propriétaire de l'ancienne école où le corps a été examiné par la justice est nommé juge de paix.

    Alors, une autre piste est avancée : Jacques Bonnel avait le mauvais œil pour preuve les mauvaises récoltes dues à un printemps glacé et pluvieux.

    Il fallait trouver un coupable et ce quincailller créancier de tout le canton en était l’image parfaite.

    On avait voulu le purifier au cours d’une cérémonie de sorcellerie en n’hésitant pas à profaner sa tombe.


    Il est bien connu qu’il suffit d’exhumer et de décapiter les prétendus sorciers pour anéantir leurs sorts.

    Savant fou - www.adventuregamestudio.frIl fallait bien stopper ces calamités !

    Et Lafarge, me direz-vous ?

    Peut-être s’interrogeait-il sur les causes de la mort de Bonnel et en homme de sciences, il avait voulu vérifier.

     

    Au fait pour descendre un peu plus dans l’horreur, on avance une dernière raison. Il paraît qu’en Limousin on récupérait la graisse des cadavres en les faisant brûler dans le but de fabriquer des onguents.

     

    En tout cas, le mystère reste entier et si vous envisagez une autre théorie, n’hésitez pas à laisser un message.

     

    Victoria

     

     


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  • Préambule :

    Si on veut se donner la peine de lire ce texte, que je classe maintenant en "nouvelle", je conseille de ne pas chercher à comprendre le pourquoi du comment mais de se laisser porter par ... les événements. Le monde dans lequel nous sommes plongés restera sans doute indéfiniment un grand mystère, bien des choses nous dépasseront toujours. Je trouve qu'il est bon souvent de "prendre le train en marche", de ne pas rester bloqué parce qu'on ne saisit pas tout, de "naviguer à vue" parfois et ... je ne sais pas vous, mais moi c'est comme cela que je me sors de bien des situations.

    L'écrivaine britannique Iris Murdoch, considérée comme agnostique, avait cette sorte de principe moteur dans ses romans, justement : agir quand même dans un environnement où bien des données ne sont pas à notre portée et ne pas rejeter les éléments qui ... nous échappent, ou dont on ne nous a pas prouvé ... l'inexistence !

     

    Ici, je précise simplement que le héros, Gustaff (que je n'ai pas créé), est le garde-chasse d'un vieux chatelain grigou, antipathique et l'amant naïf de la jeune épouse du chatelain. La nuit précédant mon récit fut on ne peut plus tumultueuse et je ne peux en dire plus, mes souvenirs me faisant défaut et les chapitres précédant le mien, écrits par d'autres joyeux lurons que moi (voir en bas de page)  étant devenus flous dans ma mémoire.

    ***

     

     chouettehulotte - www.oiseauxd'europe.free.fr

    Etait-ce dû à la couleur de ce papier, étrangement sec après le déluge de la nuit ? Comme elle était soigneusement pliée en quatre, je m'attendais à ce qu'une inscription, un message y apparaisse ... La feuille était vierge. Lent à la détente, vaseux par manque de mon café du matin, je restais le contempler bêtement quand, soudain, elle me tomba des mains, comme brusquement enlevée par des mains étrangères. Cela eut pour effet de me tirer de ma torpeur, je m'étirais pour atténuer mes courbatures, soulevai un moment mon béret pour me gratter la tête et remettre en place mes neurones ahuris.

     

    J'allais m'ébranler, droit vers chez le vieux tel un lourd pachyderme que je n'étais pourtant pas, mais j'eus un doute. N'y avait-il vraiment aucun indice sur cette feuille, même dans un coin ? Je la repris, obsédé par cette couleur rose d'ailleurs, qui, cette fois, curieusement, sembla être à l'origine de petites ondes de joie qui me parcoururent l'échine et se traduisirent en mots dans ma tête : "tout n'est pas perdu, la solution est en vue !"

     

    Je scrutai la feuille, toujours aussi vierge et j'éprouvai au bout de trente secondes comme un coup de poignard au coeur, si tant fut-ce que je susse l'effet que cela pût faire, n'en ayant jamais reçu. Cette fois-ci, un message commençait à poindre dessus, comme tracé par une encre sympathique, rendue peu à peu visible par je ne sais quelle chimie inconnue : "ta dulcinée n'est qu'une obsédée du sexe, tous les beaux gars du coin lui sont passés dessus ! Oui, c'est à toi qu'on cause, Gustaff, oublie-la, elle ne te mérite pas, toi qui l'as fait gémir de plaisir dans tes draps. Rappelle-toi, une fois, c'était pas "Gustaff" qu'elle suppliait de lui en donner encore plus, c'était "Gonzague", le jeune chatelain demeurant à sept lieues d'ici ... Elle s'en fiche de toi, même si tu lui donnais du plaisir, elle est secrètement amoureuse de Gonzague, pour qui elle a toujours été transparente. Elle n'attend qu'une chose, c'est que son vieux mari crève pour pouvoir jouer les veuves joyeuses."

     

    "Qui êtes-vous ?" m'écriai-je, à tout hasard, bien qu'il n'y eût pas âme qui vécût à proximité. Bien m' en prit : un bruissement d'ailes se fit entendre et une chouette hulotte s'envola, magnifique envol vu de près. Au passage, je captai son regard, fugace plongée dans les grands yeux couleur orange, où le reflet de la scène de l'onirique nuit précédente s'affichait. "Avant l'heure, c'est pas l'heure, mon gars ! T'as eu la frousse, hein, cette nuit ? Mais je ne pouvais rien faire, c'est ce matin que ton destin prend un nouveau chemin. Adieu Gustaff, mon rôle s'arrête ici. Enfin, pour le moment." Bien que le sexe fût difficilement discernable chez un oiseau, je perçus là l'écho de la voix énergique d'un beau spécimen mâle d'oiseau de proie avant que ne disparût celui-ci dans les grands arbres avoisinants.

     

    Je crus avoir la berlue : je vis une colombe s'enfoncer dans les feuillages. Une colombe ? Le Saint Esprit ? Ventre vide mais coeur léger, vidé de ma douleur et de ma rancune, je traversai le cimetière comme une flèche et entrai dans le village. Cela tombait bien, une taverne pimpante n'attendait que moi à l'entrée. A cette heure à l'intérieur, il n'y avait encore que deux pelés trois tondus ; je m'affalai sur un banc, m'accoudai et levai avec difficulté mes yeux qui se fermaient sur la plus mignonne apparition féminine qu'il m'eût été donné de contempler.

     

    "Vous avez l'air bien fatigué, Monsieur, vous avez voyagé toute la nuit ? Que puis-je vous servir pour vous requinquer ?" Requinqué, je me sentais déjà et une douce chaleur me montait dans le bas-ventre. Fasciné par le dessin des lèvres purpurines de la belle, ébloui par l'éclat joyeux de ses yeux, je murmurai d'une voix étranglée par l'émotion :

    - "Une soupière de café, Mademoiselle !

    - D'accord, Monsieur !" rétorqua-t-elle, rieuse et mutine. "Aussitôt dit aussitôt fait ! Du pain tout frais et des boeuchons vous conviendront ?"

    Je commençai à croire que mon avenir allait me sourire à nouveau.


     

    Colombe en vol - www.thumbs.dreamstime.com


     

    Lenaïg

    ***

     

    Ecrit en 2008, pour un chapitre d'une autre grande Histoire à suivre de l'ancien site Lgdm, initié cette fois par le lui-même mystérieux Davidovich.

    J'ai repris mon cahier et complété mes notes manuscrites, n'ayant plus le texte tel que je l'avais posté.

    Nous avions, là aussi, des mots imposés, que j'ai mis ici en italique (en espérant ne pas en avoir oublié).

     

    Je me souviens de l'exaltation que j'éprouvais alors dans l'écriture et à la lecture des copains, les fous rires que nous avions. Je me rappelle aussi que quelqu'un me reprocha énergiquement de prendre parti pour le Gustaff, de critiquer et démolir ainsi la jeune maîtresse de celui-ci (qui l'avait pourtant allègrement trompé), confondant le personnage masculin et ... moi, qui tirais ses ficelles pour ce chapitre ; me reprochant mon manque de solidarité féminine, moi qui étais pourtant gentille, etc. Ah, c'était mouvementé ! Pour moi, l'intrigue s'imposait comme cela, j'étais dans la peau de Gustaff et en écrivant, je n'étais pas du tout Lenaïg ! J'éprouvai de la fierté que Davidovich saluât, chapeau bas, mon "beau " : "si tant fut-ce que je le susse" !

     

    Les "boeuchons" sont un mets de choix inventé par Rahar ! Je vais rechercher dans quel roman ...

     

    Références des illustrations dans l'album photos Animaux.

     


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  • Space family - Moons ! - LéoSuis-je au clair avec ma lune ?

    Introspective question

    Portée à notre attention.

    C'est le défi à la une !

     

    Il faut donc parler de soi,

    Ce devrait être facile

    Et le sujet très docile,

    Narcissisme faisant loi !

     

    Quand on se prend à écrire,

    Comme quand on est enfant,

    Son propre nombril on prend

    Au sérieux, et sans en rire !

     

    On raconte ses ennuis,

    Lune-au-bout-de-la-rue_edited.jpgSes amours et ses misères.

    Le Je est ce qu'on préfère,

    On s'interroge la nuit ...

     

    Moi aussi, j'y suis passée,

    Evoquant mes insomnies,

    Angoisse et peur je ne nie.

    Ai-je aiguisé ma pensée ?

     

    Je le crois, mais rien n'est sûr.

    Du nombril, vite lassée,

    La planète j'ai visée.

    Ô monde incertain et dur !

     

    Ma plume est toute petite,

    Qui voudrait faire du bien,

    Apporter des petits riens

    Lune au matin, Sacré Coeur dans le coinA la Terre que j'habite.

     

    Mais je reviens à la Lune,

    Que j'ai souvent à l'esprit.

    Sa présence me réjouit.

    Pour moi, il n'y en a qu'une !

     

    Ma lune est la vôtre aussi,

    Celle qu'on a tant chantée,

    Celle qui m'a inspirée

    Déjà, toujours ; c'est ainsi.

     

    La Lune relativise

    Et donne de l'unité

    Car toute l'humanité

    Rêve devant à sa guise.

     

    Lenaïg,

    pour la quinzaine de Brigitte Giraud, Paradis Bancale :

      http://paradisbancale.over-blog.com/article-a-l-abordage-le-defi-n-46-59713316.html

     

    Illustrations :

    • Moons ! Artiste : Léo, pour le jeu des 7  familles d'Ada et Léo (voir l'album)
    • Lune au bout de la rue : photo Lenaïg
    • Lune au matin, Sacré Coeur dans le coin : photo Lenaïg.

    *** 

     

    Pour les éventuels lecteurs, prêts à persévérer, je serais heureuse qu'ils jettent un coup d'oeil

    sur la lune telle qu'elle est déjà apparue sur le présent blog, comme par exemple :

    Une toute proche lune - poème

     http://leblogdelenaig.over-blog.com/article-une-toute-proche-lune-lenaig-59264177.html

    ***

     

    Le soleil et notre lune - chanson

    http://leblogdelenaig.over-blog.com/article-le-soleil-et-notre-lune-41446096.html

    ***

     

    Et aussi, pour les grands comme les petits :

    Fleur de trèfle et Monsieur l'Ours

      http://leblogdelenaig.over-blog.com/article-the-tale-of-one-evening-in-the-life-of-two-friends-a-rabbit-and-a-bear-lenaig-54135203.html

    ***

     

     


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  •  

    le-choix - www.actuabd.compeaceSmiley - www.festivalofmusicians.com 

     

     

    Une limite à notre choix :

    Notre condition est mortelle

    Et ne tolère aucun rebelle !

    Autant se battre pour des noix !

     

     

     

    Betty Boop Peace And Love - www.amicalespitfire.frPourtant, avant cette échéance,

    Les choix, de multiple façon

    Se presseront au portillon !

    A nous de sortir la balance !

     

     

     

    Choix cornéliens, choix de planqués,

    Choix qui font mal, choix dans la joie,

    Choix limités, choix dans la soie,

    Choix inconscients, actes manqués !

     

     

     

    Choix obligés : alternative.

    Trop à choisir : choix de gâté.

    Des choix pour soi, de société.

    Un choix porteur : locomotive !

     

     

     

     

    Lenaïg

     

    Références illustrations :

    • Smiley peace and love : www.festivalofmusicians.com
    • Le choix : www.actuabd.com
    • Betty Boop peace and love : wwwamicalespitfire.fr
    • Le Choixpeau du collège de Harry Potter : www.dailymail.co.uk

     

     

     

    Le choixpeau dans Harry Potter - www.dailymail.co.uk


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